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Laseule limite est votre imagination ! Pour vous donner un petit coup de pouce, nous avons sélectionné des idées de calendriers de l'Avent à fabriquer facilement à la maison ou d'autres dont s'inspirer pour personnaliser le vÎtre. Souvent à base d'éléments récupérés, ils sont moins coûteux, plus originaux et plus écolos.
Penser Ă lâessentiel, Ă©viter le superflu Carte vitale. Carte de mutuelle. Carnet de maternitĂ© Comptes rendus dâĂ©chographies. Reconnaissance anticipĂ©e. Dossier dâinscription Ă la maternitĂ© Carte de groupe sanguin. Eventuellement, les rĂ©sultats des derniers examens. En effet, Comment faire une valise dâaccouchement ? Les vĂȘtements bĂ©bĂ© Ă prĂ©voir pour ses premiers jours sont les suivants 7 pyjamas. 8 bodies croisĂ©s devant. 2 bonnets. 1 paire de chaussons. 6 paires de chaussettes. 7 bavoirs. 3 gilets en laine. 2 gigoteuses ou turbulettes. Or Quand prĂ©parer valise accouchement ? Habituellement, on conseille de faire sa valise de maternitĂ© au dĂ©but du 8Ăšme mois, pour que tout soit prĂȘt au cas oĂč votre bĂ©bĂ© dĂ©ciderait de pointer le bout de son nez plus tĂŽt que prĂ©vu. dâailleurs, Quand faire la dĂ©claration anticipĂ©e de naissance ? Le pĂšre et la mĂšre peuvent reconnaĂźtre leur enfant avant la naissance ensemble ou sĂ©parĂ©ment reconnaissance anticipĂ©e, dĂšs que la grossesse est confirmĂ©e. La dĂ©marche se fait dans nâimporte quelle mairie. Il suffit de prĂ©senter une piĂšce dâidentitĂ© et de faire une dĂ©claration Ă lâĂ©tat-civil. Quand finir valise maternitĂ© ? La valise maternitĂ© doit ĂȘtre prĂȘte et bouclĂ©e au moins 1 mois avant la date dâaccouchement prĂ©vue. Cependant, la prĂ©paration de cette valise ne se fait pas en 5 minutes, car il y a beaucoup dâaffaires Ă prĂ©voir et de papiers Ă rassembler. Câest pourquoi il est recommandĂ© de la prĂ©parer au plus tĂŽt. Quel sac prendre pour la salle dâaccouchement ?Quand commencer Ă faire des achats pour bĂ©bĂ© ?Quelle tenue pour la salle dâaccouchement ?Pourquoi faire une dĂ©claration anticipĂ©e de naissance ?Est-il obligatoire de faire une reconnaissance anticipĂ©e ?Quand commence le 8eme mois de grossesse ?Quelle tenue le jour de lâaccouchement ?Quel sac pour la salle dâaccouchement ?Quand commencer Ă acheter des vĂȘtements de grossesse ?Quand les promos sur la puĂ©riculture ?Comment sâhabiller pour un dĂ©clenchement ?Est-ce que la mĂšre doit reconnaĂźtre son bĂ©bĂ© ?Comment faire pour ne pas reconnaĂźtre un enfant ?Quand la mĂšre ne veut pas du pĂšre ?Comment se sent la femme enceinte Ă 8 mois de grossesse ?Quand se termine le 7eme mois de grossesse ?Quel est le mois le plus important de la grossesse ?Pourquoi peignoir maternitĂ© ?Quel pantalon en dĂ©but de grossesse ?Comment sâhabiller Ă 2 mois de grossesse ?Comment sâhabiller Ă 4 mois de grossesse ?Aller plus loin Quel sac prendre pour la salle dâaccouchement ? Je vous conseille de prendre un gros sac, ou un sac week-end ». Ensuite mettez une pochette dedans pour les affaires du bĂ©bĂ©. Ainsi quand on vous demandera les affaires du bĂ©bĂ© elles seront toutes rĂ©unies dans ce sac et lâaccompagnant nâaura pas Ă chercher et fouiller. » Quand commencer Ă faire des achats pour bĂ©bĂ© ? Entre le 5e et le 6e mois de grossesse la pĂ©riode parfaite Câest Ă partir de ce moment que vous allez pouvoir commencer vos achats. Vous nâĂȘtes pas encore dans lâurgence, vous avez le temps de comparer avant de passer commande. Quelle tenue pour la salle dâaccouchement ? En salle dâaccouchement, vous devrez apporter une tenue pour votre nouveau-nĂ©. Elle doit se composer dâun body, dâun pyjama, dâun bonnet il sous servira aussi durant tout votre sĂ©jour Ă la maternitĂ©, dâune paire de chaussettes, dâune brassiĂšre en laine ou coton et, Ă©ventuellement, de petites moufles. Pourquoi faire une dĂ©claration anticipĂ©e de naissance ? Cette reconnaissance permet Ă©galement au pĂšre de donner son nom Ă lâenfant Ă naĂźtre. Ă noter quâil est possible dây accoler le nom de la mĂšre afin que lâenfant porte les noms de ses deux parents. Est-il obligatoire de faire une reconnaissance anticipĂ©e ? Contrairement Ă la dĂ©claration de naissance, la reconnaissance nâest pas obligatoire. La reconnaissance est un acte juridique en vue dâĂ©tablir la filiation dâun enfant dont les parents, le plus souvent, ne sont pas mariĂ©s. Quand commence le 8eme mois de grossesse ? Ce huitiĂšme mois, que lâon dĂ©limite entre la 31Ăšme et la 34Ăšme semaine de grossesse soit la 33Ăšme et la 36Ăšme semaine dâamĂ©norrhĂ©e, commence Ă vous faire sentir que câest bientĂŽt la fin de la grossesse ! Votre bĂ©bĂ© vient se placer pour ĂȘtre prĂȘt Ă naĂźtre. Quelle tenue le jour de lâaccouchement ? Pour bĂ©bĂ©, prĂ©vois un body manches longues, un bonnet en coton, un pyjama en velours, une brassiĂšre en laine, une paire de chaussettes. Pour la taille, prĂ©vois du naissance ou un mois selon lâestimation donnĂ©e par lâobstĂ©tricien ou la sage-femme. Quel sac pour la salle dâaccouchement ? Je vous conseille de prendre un gros sac, ou un sac week-end ». Ensuite mettez une pochette dedans pour les affaires du bĂ©bĂ©. Ainsi quand on vous demandera les affaires du bĂ©bĂ© elles seront toutes rĂ©unies dans ce sac et lâaccompagnant nâaura pas Ă chercher et fouiller. » Quand commencer Ă acheter des vĂȘtements de grossesse ? DĂšs le premier trimestre, vous pouvez investir dans un bon jean maternitĂ©, un soutien-gorge de qualitĂ©, des collants de grossesse â car vous allez adorer porter des robes ! Il est important de vous sentir Ă lâaise dĂšs le dĂ©but. Quand les promos sur la puĂ©riculture ? â Les siĂšges-auto et rehausseurs sont les moins chers en mars et les plus chers en dĂ©cembre. â Les poussettes sont les moins chĂšres en fĂ©vrier et les plus chĂšres en avril. â Les chaises hautes sont les moins chĂšres en juillet et les plus chĂšres en novembre. Comment sâhabiller pour un dĂ©clenchement ? Pensez aux leggings, treggings, souples et agrĂ©ables Ă porter. Une chemise Ă porter par-dessus ou une blouse pensez Ă prendre un haut assez long ! Avec les garnitures XXL, câest le gros popotin garanti ! Et pourquoi pas, une robe elle cache votre ventre post-grossesse, mais met vos atouts en valeur. Est-ce que la mĂšre doit reconnaĂźtre son bĂ©bĂ© ? Reconnaissance par la mĂšre La mĂšre doit reconnaĂźtre lâenfant dans les 2 mois aprĂšs la naissance de lâenfant pour demander que ce dernier lui soit remis. La reconnaissance peut se faire dans nâimporte quelle mairie en prĂ©sentant les documents suivants Justificatif dâidentitĂ© Comment faire pour ne pas reconnaĂźtre un enfant ? Seul le droit de ne pas reconnaĂźtre lâenfant existe Dans le cas oĂč il a une filiation dĂ©jĂ Ă©tablie, il faut contester cette filiation, en obtenir lâannulation, avant dâengager la recherche de paternitĂ©. Ă dĂ©faut, lâaction sera dĂ©clarĂ©e irrecevable. Quand la mĂšre ne veut pas du pĂšre ? La mĂšre peut, au nom de lâenfant faire une procĂ©dure en reconnaissance de paternitĂ© forcĂ©e. Un test ADN sera alors ordonnĂ©. Si vous refusez de le faire, le tribunal pourra quand mĂȘme dĂ©cider que vous ĂȘtes le pĂšre de lâenfant. Comment se sent la femme enceinte Ă 8 mois de grossesse ? La peau de votre ventre est tirĂ©e et votre dos est cambrĂ©, ce qui accentue les douleurs. Vous avez mal Ă votre bassin, car les os sâĂ©cartent en prĂ©vision de lâaccouchement. Les dĂ©placements sont plus difficiles en raison de lâessoufflement perpĂ©tuel, des jambes lourdes et de la fatigue gĂ©nĂ©rale de votre corps. Quand se termine le 7eme mois de grossesse ? Ce septiĂšme mois, qui est un vĂ©ritable cap Ă passer, se dĂ©limite entre la 27Ăšme semaine et la 30Ăšme semaine de grossesse, ou encore la 29Ăšme et la 32Ăšme semaine dâamĂ©norrhĂ©e. Le bĂ©bĂ© a pris du poids et il remue beaucoup dans votre ventre. Quel est le mois le plus important de la grossesse ? Le 5e mois de grossesse est riche en Ă©vĂ©nements pour la future maman. Votre silhouette Ă©volue et une prise de poids, tout Ă fait normale, est souvent constatĂ©e. Votre ventre se dessine quant Ă lui plus nettement et prend davantage de place et de poids. Pourquoi peignoir maternitĂ© ? Le peignoir, un indispensable de la valise de maternitĂ© Et pour cause porter un peignoir permet de sâemmitoufler dans un vĂȘtement ample, chaud et confortable. Autrement dit, trois des qualitĂ©s requises pour les tenues post-grossesse. Quel pantalon en dĂ©but de grossesse ? Si vous avez une grossesse normale, vous pourrez porter le pantalon pour lâentiĂšre durĂ©e de votre grossesse. GrĂące Ă lâĂ©lastique ajustable, vous pouvez dĂ©jĂ porter le pantalon au dĂ©but de votre grossesse, car vous pouvez rĂ©trĂ©cir le pantalon avec lâĂ©lastique ajustable. Comment sâhabiller Ă 2 mois de grossesse ? DĂšs les premiers mois de grossesse, misez sur les basiques indispensables du dressing maternitĂ© Ă porter en toutes occasions et qui vous accompagneront pendant 9 mois et plus. Une robe fluide, un legging, un tee-shirt stretch, un jean grossesse⊠Comment sâhabiller Ă 4 mois de grossesse ? On pense Ă la robe babydoll, Ă la robe trapĂšze ou encore au pantalon palazzo Ă taille Ă©lastique. Cela vaut aussi bien pour celles qui souhaitent sâhabiller Ă 4 mois de grossesse que pour celles qui approchent la fin de leur terme. Aller plus loin RĂ©fĂ©rence 1 RĂ©fĂ©rence 2 RĂ©fĂ©rence 3 RĂ©fĂ©rence 4 Reference 5Cepetits sachets est Ă©galement idĂ©al pour y mettre vos dragĂ©es lors dâun mariage ou dâun baptĂȘme, sobres et Ă©lĂ©gants, les sachets feront fureur envers vos invitĂ©s. Sachets de bonbons Ă offrir â MatĂ©riel : du papier journal;
Pour se plonger dans lâambiance terrifiante d'Halloween, les dĂ©guisements effrayants pour enfants et la dĂ©coration d'Halloween sont essentiels, mais pas que... Alors, aprĂšs avoir tapissĂ© votre intĂ©rieur de toiles dâaraignĂ©es et autres sorciĂšres, il ne reste plus quâĂ sortir les friandises. Mais pas question de les laisser dans leur sachet. Elles aussi ont droit Ă leur cocon. Une fois la citrouille dĂ©corĂ©e, attelez-vous Ă fabriquer son sac Ă bonbons. Et pas de panique, câest moins compliquĂ© quâil nây parait. Promis !Des idĂ©es de sacs Ă bonbons Halloween Ă faire soi-mĂȘme Pour les petits diables de la maison ou pour accueillir ceux du quartier, on se lance dans la crĂ©ation de son panier Ă bonbons pour Halloween. Et si, pour commencer, on pensait recyclage ? Simple, rapide et Ă©colo, il sera votre parfait alliĂ© pour vous faciliter la vie. Un seau, une boite de conserve ou encore un bocal en verre serviront de bonbonniĂšre tour Ă tour effrayante ou follement drĂŽle. Peintures, papiers, autocollants⊠permettront aux novices de rĂ©aliser des merveilles. Les plus courageux se lanceront dans la confection dâun sac en tissu, en crochet ou mĂȘme dâune terrifiante plante carnivore pour des bonbons en libre-service devant la maison. Parfait pour Ă©viter les mauvais sorts. Citrouilles d'Halloween customisĂ©es, vampires, fantĂŽmes⊠Voici comment faire un panier pour Halloween soi-mĂȘme. Commentfaire 1. Mettez deux feuilles de papier journal l'une sur l'autre. 2. Coupez un rectangle d'environ 40 cm sur 21 cm. 3. Posez ce rectangle devant vous horizontalement. Pliez simplement le papier Ă lâintĂ©rieur de chaque Ćil et dĂ©coupez un petit trou. Vous pouvez ensuite glisser les ciseaux dans le trou et dĂ©couper le trou pour lâĆil en suivant les contours tracĂ©s. Si vous faites un masque entier, ne le dĂ©coupez pas encore.. Comment faire un masque pour le visage en papier ? Ătapes Gonflez un ballon. Ne le gonflez pas trop ou il exploserait. Rassemblez et prĂ©parez le matĂ©riel nĂ©cessaire Ă votre papier mĂąchĂ©. Couvrez le ballon avec le papier mĂąchĂ©. DĂ©gonflez le ballon avec une aiguille. Utilisez des ciseaux pour couper la boule de journal en deux. DĂ©coupez des trous. Peignez le masque . Comment faire un masque vĂ©nitien ? Tout savoir sur la fabrication dâun masque vĂ©nitien Pour crĂ©er un nouveau modĂšle de masque vĂ©nitien , il faut commencer par le sculpter dans de lâargile. On verse ensuite du plĂątre mĂ©langĂ© Ă de lâeau. Il faut environ 90 minutes au plĂątre pour durcir. Il faut ensuite dĂ©tacher le moule de la sculpture en argile. Comment fabriquer un masque qui fait peur ? Masque facile et rapide Ă faire pour Halloween On commence par dessiner une esquisse du dessin de la citrouille sur 5 faces du carton, puis on repasse les formes avec un feutre noir. Ensuite, on doit peindre soigneusement le carton avec de la peinture acrylique orange mĂ©lange de rouge et de jaune. Comment faire un masque de carnaval en papier ? Câest trĂšs facile ! Il vous suffit dâimprimer un modĂšle sur un papier Ă©pais et de laisser votre enfant le colorier. Nâoubliez pas de faire deux trous Ă la perforatrice si nĂ©cessaire et de prĂ©voir les attaches pour y passer votre ficelle. Il serait dommage que votre masque ne soit pas facile Ă porter par votre enfant. Comment faire un masque de ninja ? Comment faire un masque de Ninja avec un t-shirt ? Allez chercher un t-shirt dans votre armoire. InsĂ©rez votre tĂȘte dans le t-shirt en entourant votre visage, sans introduire vos bras. Attrapez les deux manches du t-shirt et nouer les ensembles derriĂšre votre tĂȘte. Ajustez le haut de votre masque . Comment faire un costume de ninja ? ĂlĂ©ments nĂ©cessaires Un haut noir Ă col roulĂ© Un pantalon noir. Une robe de chambre fine ou un kimono noirs. Une Ă©charpe noire. Une paire de gants noirs. Un ruban noir. Des bottes noires. Un haut noir Ă manches longues. Comment faire un masque avec son tee shirt ? La marche Ă suivre DĂ©coupez la manche dâun t â shirt et la bande au bas pour faire une longue bande de tissu qui va servir Ă attacher le masque . Passez la bande autour de votre cou, puis entre les deux Ă©paisseurs de tissu. Ajustez-le pour quâil couvre votre visage et votre nez et attachez-le autour de votre tĂȘte. Comment faire un masque pour un enfant ? Pour rĂ©aliser un masque barriĂšre enfant, vous aurez besoin de 2 coupons de 17 x 17 cm de coton idĂ©alement de la popeline ou percale, sinon de la cretonne. Le tissage doit ĂȘtre trĂšs serrĂ©, et le tissu doit rĂ©sister aux lavages Ă 60°C. Une bobine de fil assorti. Comment faire un masque pour se dĂ©guiser ? Les Ă©tapes Tracer les repĂšres sur le carton. DĂ©couper les contours aux ciseaux. Effectuer les dĂ©coupes intĂ©rieures au cutter. Agrafer le masque selon la taille de la tĂȘte. DĂ©couper les bandes de carton. Coller les bandes pour former les cheveux et la barbe. Colorier ou peindre le masque . Comment faire un masque de ninja en papier ? DĂ©coupez la forme de votre tĂȘte dans le papier et posez-le sur le t-shirt. Utilisez un crayon ou un feutre pour reproduire la silhouette sur le t-shirt. Vous devez disposer la silhouette sur les coutures du t-shirt, comme sous lâaisselle de lâune des manches du t-shirt X Source de recherche . Comment faire des masques dâanimaux ? RĂ©alisation TĂ©lĂ©charger le modĂšle. DĂ©couper le masque selon le modĂšle. DĂ©couper les oreilles et les coller sur lâenvers avec le scotch double-face. Percer 2 trous ronds dans le fond du pot rose pour faire les narines. Coller le groin avec le double-face. Peindre le masque avec la peinture rose. Comment faire un masque de Arlequin ? Ătape 1 dĂ©couper les pointes. DĂ©coupez 3 pointes dâ arlequin dans des assiettes en carton. Ătape 2 former les pointes. Ătape 3 la peinture. Ătape 4 dĂ©couper un masque . Ătape 5 un masque noir. Ătape 6 ajouter le ruban. Ătape 7 finaliser le chapeau Arlequin . Ătape 8 prĂ©parer les pompons. Pourquoi Arlequin porte un masque ? ARLEQUIN Son masque noir Ă©voque facilement le visage dâun africain ou dâun charbonnier au visage recouvert de suie. Ses yeux ronds et minuscules Ă©voquent la ruse et la gourmandise. Qui a créé Arlequin ? Sur scĂšne. Le personnage dâArlequin a Ă©tĂ© créé par lâacteur italien Domenico Biancolelli. Il Ă©tait employĂ© dans Ă©normĂ©ment de piĂšces de commedia dellâarte et figure comme un personnage indispensable Ă celle-ci. Sa fonction est celle dâun valet comique. Quelle est la soubrette la plus connue de la commedia dellâarte ? RĂ©ponse Deux parmi Arlequin, Brighella, Pierrot ou Polichinelle. 5. Quelle est la soubrette la plus connue de la commedia dellâarte ? RĂ©ponse Colombine. RĂ©alisation dâun masque de chat en papier Coller les modĂšle au dos de la feuille de papier couleur DĂ©couper chaque partie du masque en suivant les traits. Ăvider lâemplacement des yeux. Coller les oreilles roses sur les oreilles noires. Coller les oreilles sous le haut de la tĂȘte de chat . Comment on fait les masques ? Pour fabriquer un masque de protection, il vous faut 2 coupons de tissu de 20 x 20cm coton, polyester pour lâextĂ©rieur et molleton fin, polaire ou microfibre pour lâintĂ©rieur ; 2 Ă©lastiques ; Du fil Ă coudre. Comment faire un costume de chat ? Comment rĂ©aliser une queue de chat Il te suffit simplement de prendre un collant noir et de le dĂ©couper selon la longueur que tu souhaites. Une fois cette Ă©tape effectuĂ©e, tu nâas plus quâĂ remplir le collant de coton puis le fermer avec quelques points de couture et de le coudre Ă©galement Ă ton pantalon noir. Comment faire un masque de Carnaval en papier ? Câest trĂšs facile ! Il vous suffit dâimprimer un modĂšle sur un papier Ă©pais et de laisser votre enfant le colorier. Nâoubliez pas de faire deux trous Ă la perforatrice si nĂ©cessaire et de prĂ©voir les attaches pour y passer votre ficelle. Il serait dommage que votre masque ne soit pas facile Ă porter par votre enfant. Comment faire un masque de lion en papier ? Placez tous les Ă©lĂ©ments dĂ©coupĂ©s devant votre enfant et aidez-le Ă Coller lâintĂ©rieur des oreilles sur les deux cercles jaunes. Plier les deux coins supĂ©rieurs du sac et agrafer dessus les deux oreilles. Coller les deux joues » au centre du masque . Dessiner les dĂ©tails de la gueule de lion . Comment accrocher un masque vĂ©nitien ? Utiliser les bandes dâattache pour les masques DĂ©couper les deux bandes de couleur en suivant les traits extĂ©rieurs. Coller une bande de couleur de chaque cĂŽtĂ© du masque . Coller les bandes dâattache lâune sur lâautre en anneau et les ajuster pour que le masque bec dâoiseau tienne bien sur la tĂȘte. Comment dĂ©corer un masque vĂ©nitien ? Peindre une partie du masque en marron plus soutenu. Peindre les contours des yeux et de la bouche en rouge plus ou moins clair. Coller Ă©ventuellement des petits morceaux de papier comme du papier Ă musique. Dessiner des arabesques sur le masque de Venise. Comment faire un masque de squelette ? Masque de squelette pour se dĂ©guiser pour Halloween Demandez Ă votre enfant de Dessiner la forme dâune tĂȘte de squelette sur le dessus de lâassiette. Ăvider les yeux, le nez et Ă©ventuellement les dents. Faites deux trous de chaque cĂŽtĂ© du masque et attachez un fil Ă©lastique pour faire tenir le masque . Nâoubliez pas de partager lâarticle !Parcequ'on a tous des enveloppes sous la main et qu'il est temps d'investir dans deux ou trois rouleaux de masking tape ! Ce DIY est trĂšs facile Ă rĂ©aliser, et trĂšs rapide. Je l'ai testĂ© ce soir dans le mĂ©tro (sans le masking tape)
La semaine derniĂšre, je vous parlais de mes envies vertes pour 2019. Parmi toutes celles que j'ai listĂ©es, il m'a semblĂ© prĂ©fĂ©rable pour commencer d'en sĂ©lectionner 2 facilement rĂ©alisables me passer des petits sacs en papier que me donne mon primeur sur le marchĂ© et me rendre rĂ©guliĂšrement dans un magasin de vrac pour acheter une bonne partie de mon Ă©picerie riz, pĂątes, sucre, farine..... Mais pour ça il faut que je m'Ă©quipe en sacs Ă vrac! PremiĂšre solution les acheter tout faits. J'en ai trouvĂ© pas mal sur internet mais le prix Ă©tait souvent Ă©levĂ© et puis j'ai repensĂ© Ă 2 rĂšgles Ă©cologiques familiales que j'essaie de suivre au mieux - on consomme moins mais mieux - on privilĂ©gie le fait maison mĂȘme si c'est surtout pour la cuisine, c'est valable aussi pour le reste!! Alors j'ai ressorti ma machine Ă coudre l'espace d'une petite heure et je me suis mise Ă l'oeuvre. J'ai cousu 3 sacs de taille diffĂ©rente Ă liens coulissants, histoire que cela convienne Ă tout types d'aliments! Je vous propose de partager avec vous mon tuto, c'est trĂšs facile Ă rĂ©aliser que des coutures droites!!! Ă la portĂ©e de la plus dĂ©butante des dĂ©butantes ;- et si vous n'avez pas de machine Ă coudre, vous pouvez mĂȘme les faire Ă la main!!! Il ne vous faudra pas plus d'une heure, 30min pour les plus chevronnĂ©es!! Pour 3 sacs de dimensions 14*16cm, 19*24cm et 25*32cm, il vous faut - 60*100cm du tissu de votre choix - 3m50 de cordon assorti - du fil - des ciseaux - des aiguilles - une rĂšgle - un stylo ou feutre effaçable 1Ăšre Ă©tape PrĂ©parer son tissu - repassez votre tissu pour enlever les plis - tracez vos rectangles sur l'envers du tissu + pour le sac de 14*16cm, 2 rectangles de 16*21cm + pour le sac de 19*24cm, 2 rectangles de 21*29cm + pour le sac de 25*32cm, 2 rectangles de 27*37cm - dĂ©coupez-les 2Ăšme Ă©tape PrĂ©parer l'ouverture pour le passage du cordon - superposez l'un sur l'autre les 2 rectangles de chaque sac, endroit contre endroit - pour chaque sac, sur l'envers 1 du tissu pas besoin de le faire des 2 cĂŽtĂ©s, tracez un premier trait dans le sens de la largeur Ă 5,5cm du haut puis un deuxiĂšme trait Ă 1,5cm du premier ou Ă 7cm du haut. 3Ăšme Ă©tape Assembler - Ă©pinglez les 2 rectangles de tissu de chaque sac, endroit contre endroit - piquez les 2 cĂŽtĂ©s et le bas Ă 1cm du bord, en Ă©vitant de chaque cĂŽtĂ©, l'espace entre les 2 traits tracĂ©s pour laisser l'ouverture pour le cordon - crantez et coupez les angles 4Ăšme Ă©tape PrĂ©parer la glissiĂšre - pour chaque sac, sur l'envers 2 du tissu, celui oĂč il n'y a pas de trait pas besoin de le faire des 2 cĂŽtĂ©s, tracez Ă nouveau 2 traits parallĂšles dans le sens de la largeur Ă partir du haut du sac le premier Ă 3cm et le second Ă 4,5cm du prĂ©cĂ©dent ou 7,5cm du haut - pliez le bord du tissu sur le premier trait celui Ă 3cm du haut et marquez le pli au fer Ă repasser - pliez une seconde fois le tissu de maniĂšre Ă ce que le premier pli soit bord Ă bord avec le second trait celui Ă 7,5cm du haut et marquez le pli au fer Ă repasser - piquez tout le tour de la glissiĂšre Ă 1,5cm du dernier pli attention Ă ne pas piquer les 2 Ă©paisseurs ensemble 5Ăšme Ă©tape Mettre en place le cordon - retournez le sac sur l'endroit et Ă l'aide d'une pointe j'utilise les baguettes rĂ©cupĂ©rĂ©es au resto japonais!, faites ressortir les coins - repassez les coutures - coupez les longueurs de cordon + pour le sac de 14*16cm, 2 cordons de 42cm + pour le sac de 19*24cm, 2 cordons de 57cm + pour le sac de 25*32cm, 2 cordons de 75cm - mettez le sac Ă plat - par l'ouverture du cĂŽtĂ© droit, Ă l'aide d'une Ă©pingle Ă nourrice, insĂ©rez le premier cordon et faites lui faire le tour du sac il doit ressortir du mĂȘme endroit par oĂč il est entrĂ© - par l'ouverture du cĂŽtĂ© gauche, Ă l'aide d'une Ă©pingle Ă nourrice, insĂ©rez le deuxiĂšme cordon et faites lui faire le tour du sac il doit ressortir du mĂȘme endroit par oĂč il est entrĂ© - terminez en nouant 2 Ă 2 les cordons de chaque cĂŽtĂ©. Et voilĂ vos sacs sont prĂȘts!!!! Si vous voulez faire des sacs de dimensions diffĂ©rentes, il vous suffira d'ajouter 5cm Ă la hauteur souhaitĂ©e pour la glissiĂšre et 2cm Ă la largeur souhaitĂ©e pour les marges de couture. Et pour la longueur du cordon, il vous faudra 2 cordons de 3 fois la largeur du sac par exemple pour un sac de largeur 20cm, il vous faut 2 cordons de 3*20=60cm. Il ne me reste plus qu'Ă ne pas les oublier quand je pars faire mes courses!! Et pensez Ă les peser Ă vide et Ă noter leur poids au stylo bic Ă l'intĂ©rieur, ça vous permettra de faire la tare sur la balance!!! Un grand merci Ă Creavea, site de loisirs crĂ©atifs, pour les fournitures tissu, fil et cordon. Ils ont toujours un choix exceptionnel et trĂšs variĂ© Ă des prix dĂ©fiants toute concurrence d'ailleurs en ce moment il y a un grand dĂ©stockage sur le site, c'est le moment de faire des bonnes affaires!. Je me fournis souvent lĂ -bas pour ma couture, mes petits bricolages avec les enfants plastique fou, attache porte-clĂ©s.... ou avec mes Ă©lĂšves pour les cadeaux prĂ©parer en classe pour NoĂ«l, la fĂȘte des mĂšres ou la fĂȘte des pĂšres!!
Pourconcevoir un patron de sac, il vous faudra: du papier (quadrillĂ© ou non, kraft, journal jâachĂšte en gĂ©nĂ©rale celui-ci) bien sĂ»r et des crayons bien aiguisĂ©s; ainsi que des ciseaux et de la colle en bĂąton. mais surtout une rĂšgle droite (transparente, câest mieux) pour mesurer et tracer des lignes droites. Le Deal du moment -20% OnePlus Nord CE 2 5G â 8GB RAM 128GB â ... Voir le deal 239 ⏠NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Et maintenant ? {Milan Mer 11 Mai - 1623 Et maintenant on fait quoi ?Milan & Alaska Tu te rappelles de ça ? Oui, bien sĂ»r. On ne peut rien oublier de tout ça. Parce que pendant quatre ans, ça a Ă©tĂ© ton quotidien. Pendant quatre ans c'Ă©tait ton quotidien, sans interruption, sauf au lycĂ©e. Sauf avec Aaron. Tu t'en souviens de lui ? Ăvidemment. Et tu as fais quoi ? Rien. Tu t'es laissĂ©e tomber dans la merde, comme une grande, sans chercher Ă t'en sortir. Et tu vois, aujourd'hui, t'en es lĂ . Si t'avais rĂ©agis plus tĂŽt, ta vie aurait Ă©tĂ© diffĂ©rente. Tu le sais, je le sais, on le sait toutes les deux. »J'ouvris les yeux rapidement, ma respiration brisant le calme apaisant de ma chambre. Laissant la nuit s'Ă©chapper pour que le jour prenne sa place. Je soufflais et passais une main dans mes cheveux avant d'Ă©clater en sanglots bruyants. Elle avait raison. Elle avait toujours raison, jamais tord. C'Ă©tait sa force. Rare Ă©tait les fois oĂč elle se trompait. Je fermais les points sur mon visage, alors que les larmes coulaient toujours. Je roulais sur le cĂŽtĂ© et me blottis dans ma couette, imaginant ses bras autour de mon corps. Sa chaleur qui venait et qui m'aidait Ă m'endormir. J'avais peut-ĂȘtre connue l'absence de ma mĂšre biologique, mais j'avais eu Mary pendant quinze ans. AprĂšs, tout a dĂ©rapĂ©. Je fermais les yeux avec force, voyant son visage derriĂšre mes paupiĂšres, sentant son parfum de fleur qui m'avait tellement bercĂ© quand j'Ă©tais toute petite. Je remontais mes jambes et mes larmes coulaient abondamment sur mes joues. Je n'essayais plus de les arrĂȘter. Ă quoi bon ? J'avais mal, terriblement mal et l'absence de Mary me pesait. Lentement, mes larmes se calmaient et je retrouvais peu Ă peu ma respiration. Je repoussais la couette et m'assis dans mon lit, remettant mon tee-shirt en place. Je passais le bas de mon haut sur mes joues pour retirer l'eau qui avait coulĂ© Ă cet endroit. Je soufflais et lentement, je posais un pied sur le sol. Le froid me fit frisonner et je croisais mes bras sur ma poitrine. J'attrapais mon bas de pyjama, que j'avais dĂ» enlever dans la nuit, pour l'enfiler et je partis prendre mon je me sentais toute petite. Fragile comme du cristal. Un cri et je me brisais en mille morceau. Peut-ĂȘtre parce que ça faisait exactement quatre ans qu'elle Ă©tait morte. Peut-ĂȘtre parce que ça faisait quatre longues annĂ©es que ma vie avait basculĂ© dans le mauvais. Je soupirais et rinçais mon bol, avant de partir me prĂ©parer pour aller Ă la fac. Aujourd'hui partiel. BientĂŽt les vacances, Ă moi les grasses matinĂ©es. Pourtant, je ne voulais pas en entendre parler. Je manquais cruellement de sommeil et dormir Ă moitiĂ© la nuit, ne m'aidait pas. Je soupirais une nouvelle fois et passais une main sur mon front. Je rentrais dans la salle de bain, me dĂ©shabillais et me glissais sous l'eau tiĂšde. Les douches Ă l'eau bouillante oĂč on ressort rouge Ă©crevisse, ce n'est plus vraiment de saison et j'avais tellement chaud, que je dĂ» tourner le bouton pour avoir quelque chose de plus frais. La diffĂ©rence de tempĂ©rature me fit frissonner et je serrais le poing pour ne pas hurler. Ă nouveau les larmes perlaient, se mĂȘlant Ă l'eau de la douche. Je voulais aller au cimetiĂšre, pour la voir et lui parler. Lui dire que j'ai retrouvĂ© un membre de ma famille, que je vais bientĂŽt rencontrer mes parents, mais quand je ne sais pas. Lui dire que j'arrive Ă peu prĂšs Ă bien gĂ©rer mes Ă©tudes, qu'elle me manque et que je l'aime. Pourtant, dĂšs que je passais devant la grille, je me figeais et levais les yeux pour regarder la croix au-dessus. Longtemps, je restais lĂ Ă mĂ©diter et puis je rentrais chez moi, encore plus mal qu'avant. Je sortis de la salle de bain et enfilais les premiers vĂȘtements qui me tombaient sous la main. Un jeans, une mariniĂšre Ă manches longues et je cherchais mes ballerines. Je zappais la case maquillage, de toute maniĂšre, vue mon teint plus que blafard et mes yeux rouges et bouffis, Ă part ressembler Ă un cadavre ambulant, je n'allais pas pouvoir faire grand chose. Je relevais mes cheveux au-dessus de ma tĂȘte et attrapant mon sac, je quittais l' Ă la fac avant une bonne quinzaine de minutes en avance. Je m'assis dans le couloirs, attendant que le temps passe. Je me plongeais dans mes derniĂšres rĂ©visions, mĂȘme si cela Ă©tait inutile, puisque que ça ne servait Ă rien. Mon esprit Ă©tait tournĂ© vers autre chose et je n'arrivais pas Ă focaliser mon attention sur ce que j'avais entre les mains. Rapidement, on dĂ»t passer et j'avais trĂšs nettement l'impression d'aller directement Ă l'abattoir. J'avais envie d'Ă©clater en sanglot et de tout envoyer valser. Pourtant, je gardais mon self-contrĂŽle et je m'en sortis plutĂŽt bien. Enfin, je pense. Ăa c'est moins sĂ»re. Maintenant je n'avais plus qu'Ă attendre les rĂ©sultats et Ă voir ce qui allait se passer pour la suite. Lentement, traĂźnant presque les pieds, je me dirigeais vers la bibliothĂšque, pour replonger mon nez dans mes rĂ©visions. Je poussais la porte et rentrais en silence. Je cherchais une table, assez Ă©loignĂ©e des autres et quand je la vit, je m'y dirigeais tranquillement. Pourtant, Ă mi-chemin, je rentrais dans quelqu'un. Je tapais assez fort dans cette personne et me retrouvait assise sur le sol, sans jamais rien comprendre Ă ce qui venait de se passer. Mes affaires s'Ă©parpillĂšrent autour de moi et j'aurais jurĂ© senti ma gorge se nouer et les larmes me monter aux yeux. Pourtant, je refrĂ©nais cette envie de fondre en larmes et m'excusais, la voix Merde ! DĂ©so ⊠Milan ?!Je murmurais un double merde, et me raclais la gorge, en saisissant la main tendue devant moi. Elle tremblait dans la sienne et je me dĂ©pĂȘchais de la retirer de lĂ . Il n'avait pas non plus besoin de voir que sa prĂ©sence me troublait. Je ramassais mes affaires en vitesse, sans rien dire, sentant les larmes Ă deux doigts de couler sur mes joues. Cette journĂ©e n'Ă©tait dĂ©finitivement pas la bonne. La mort de Mary, la rencontre avec un ancien ami. J'avais dĂ©finitivement coupĂ© les ponts avec lui aprĂšs mon viol. C'Ă©tait comprĂ©hensible, non ? Je soufflais et passais une main dans mes cheveux, relevant les yeux vers lui. Je le fixais quelques secondes dans les yeux et finis par secouer la tĂȘte de gauche Ă droite, la rebaissant sur mes pieds. Je le contournais et commençais Ă m'Ă©loigner d'un pas hĂ©sitant. J'aurais tellement aimĂ© que tout ça ne soit jamais arrivĂ©. Mary serait encore en vie, je n'aurais jamais Ă©tĂ© violĂ©, je serais peut-ĂȘtre encore avec Aaron et tout serait bien allĂ© dans le meilleur des mondes, ou presque. J'essuyais une larme solitaire qui venait de tomber et reniflais d'une maniĂšre gracieuse Ă souhait. J'Ă©tais fatiguĂ©e, lasse et j'aurais voulue aller me coucher pour que tout se termine, InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Et maintenant ? {Milan Jeu 12 Mai - 1616 Tiens, tu existais encore toi .. ? » La vie est pleine de surprises, Milan. Il faut se faire Ă l'idĂ©e.. bien que ce serait mentir de te dire que ma vie reste facile Ă vivre depuis le dĂ©part de ton pĂšre suite Ă l'annonce de ma grossesse. J'aurais pu dĂ©cider d'avorter et prendre ainsi le risque de te perdre pour le faire revenir prĂšs de moi mais je n'avais aucune raison de prendre cette dĂ©cision car, au fond de moi je te voulais, je voulais sentir ce qu'Ă©tait le bien fait d'ĂȘtre une mĂšre. Surtout, ne te mets jamais en tĂȘte que tout est de ta faute et que je suis malheureuse Ă cause de toi, jamais tu m'entends ? Je suis heureuse, tu fais partie de ma vie, je sais que tu m'aimes, que je t'aime et que nous nous aimons c'est tout ce qui compte, d'accord ? » Depuis un an, je pense que cette nuit aurait Ă©tĂ© la pire que j'aurais pu vivre dans cette ville. Un vĂ©ritable cauchemar ambulant sans moyen de pressions pour revenir Ă la rĂ©alitĂ©, non, rien du tout. J'avais Ă©tĂ© enfermĂ© toute la nuit entre les larmes de ma mĂšre et le regret d'avoir eu cette enfoirĂ© de pĂšre capable de la briser en mille morceaux comme il avait pu le faire en l'abandonnant dĂ©s qu'il eut su ma prochaine arrivĂ©e. La pire chose dans tout ça, c'est que ma mĂšre ne me donne aucune information sur sa personnalitĂ©, Ă quoi pourrait-il ressembler, comment pourrait-il s'appeler ou mĂȘme encore quel Ăąge pourrait-il avoir, aujourd'hui. Elle n'avait jamais voulu me donner une seule information par but de ne pas me donner le moyen de le retrouver et dans faire de la charpie connaissant particuliĂšrement mon caractĂšre. A vrai dire, je dois avouer qu'elle n'avait pas tord. Je le haĂŻssais sans le connaitre, je le haĂŻssais d'avoir fait souffrir ma mĂšre autant qu'il l'avait fait souffrir et de me faire souffrir par la mĂȘme occasion de ne pas connaitre une vĂ©ritable vie de famille comme tout le monde entre l'amour de son pĂšre et de sa mĂšre, pouvoir se souvenir de milliers de choses avec ses parents ou tout simplement encore pouvoir dire le prĂ©nom de son pĂšre Ă l'Ă©cole primaire quand on vous le demandait, ne fournissant pas comme rĂ©ponse ; Je ne le connais pas. » . Je ne sais mĂȘme pas si je pourrais qualifier rĂ©ellement ça comme de la haine, je pense bien que le sentiment nĂ©gatif que je ressens Ă son Ă©gare n'est pas suffisant. Les premiĂšres lueurs du soleil passaient curieusement entre mes rideaux de chambre, me chatouillant le visage m'annonçant ainsi le levĂ©e du jour.. jour des partielles. Brusquement, j'ouvris les yeux, passant ma main sur mon front sentant une masse de sueur dans les ports de ma peau. Ma voix, quant Ă elle, brĂ»lait.. Il serait mentir de se dire que je n'avais pas passĂ© toute ma nuit Ă hurler. Tout ce que j'espĂ©rais en rĂ©alitĂ©, c'Ă©tait que j'Ă©tais seul entre mes draps et qu'aucune autre personne ne me casserait les pieds avec ce qu'il s'Ă©tait passĂ© dĂ©s le rĂ©veil. Sans plus attendre, je passais ma main sur la place Ă cĂŽte de moi ; elle Ă©tait vide et froide. Ătait ce peut ĂȘtre le dĂ©but de la chance ? Aucune idĂ©e, et pour tout vous avouer je m'en fichais royalement, tout ce que je pouvais savoir c'est qu'aujourd'hui mon caractĂšre ne serait pas celui dĂ©s plus facile. ColĂ©rique, Ă©nervĂ© par ce qu'Ă©tait en rĂ©alitĂ© ma vie. Assis sur mon lit, je pensais ; mes mains frottant mon visage quelques instants, la couette encore posait sur le bas de mon corps. Je la poussais, soufflant lentement puis finis par poser les pieds sur le sol froid me levant en direction de la salle de bain. Je passais alors dans la cabine de douche laissant l'eau froide coulĂ©e sur mon corps, rĂ©veillant ainsi celui ci et mes sens. Je ne pouvais pas arrivĂ©e dans un Ă©tat blafard, non, c'Ă©tait bien une des choses que je dĂ©testais. Mes problĂšmes ne concernaient personne d'autres que moi. Il Ă©tait donc bien de les cacher et de n'en parler qu'aux personnes Ă qui nous voulons rĂ©ellement en parler, le reste on oublie. Je restais un long moment sous celle ci, priant pour que mon teint ne soit plus le mĂȘme que lors de mon entrĂ©e. Je finis donc par sortir, enfilant les premiĂšres affaires que je pus prendre ; jeans, et une paire de baskets, complĂ©tant ainsi cette tenue en finissant ma toilette sortant ensuite de la salle de bain, attrapant ma veste sur le lit, ainsi que mon porte feuille et mes clefs de voiture, quittant mon chez moi. ArrivĂ©e Ă la fac, dix bonnes minutes en avance, je prenais le temps de garer ma voiture. Une fois la place trouvĂ©e, je pris la direction de ma salle d'oral afin d'attendre l'heure de mon passage. Sortant quelques notes que j'avais Ă©crit quelques jours auparavant afin de me souvenirs d'Ă©lĂ©ments essentiels, je m'y consacrais entiĂšrement laissant le temps dĂ©filĂ©. Monsieur Wilson, c'est Ă vous. » Il Ă©tait l'heure pour moi de me jeter dans la gueule du loup. Soufflant de courage une derniĂšre fois, je pĂ©nĂ©trais dans la salle. Ils me consacrĂšrent une bonne demi heure avant de me laisser sortir. J'avais pris en moi tout le courage nĂ©cessaire afin de laisser ma gentillesse prendre le dessus et finalement je m'en Ă©tais assez bien sorti de part mon intervention et mon comportement. Il ne me restait qu'Ă attendre les rĂ©sultats de cet entretient. Cependant, le reste des Ă©preuves arrivĂ©es Ă grand pas, et il Ă©tait hors de questions que je me laisse prendre par mes Ă©motions gĂąchant ainsi mes chances de devenir ce que je souhaitais. J'avais donc pris la direction de la bibliothĂšque m'installant sur une table seule dans un coin de celle ci. J'Ă©tais prĂȘt Ă mâasseoir quand une personne me frappa de violence. Soufflant d'agacement je me retournais vers celle ci, baissant mon visage sur le sol. Je l'aidais cependant Ă ramasser ses affaires, lui tendant la main afin qu'elle se relĂšve. Bizarrement sa main tremblait. Je faisais si peur que ça ? En tendant le bras, j'entendis sa voix Merde! DĂ©so.. Milan ?! ». Je relevais le visage restant bloquĂ© sur la personne se trouvant en face de moi.. Alaska. Cela devait faire un bon moment que nous ne passions plus de temps ensemble, non pas de ma faute mais bien de la sienne qui s'Ă©tait Ă©loignĂ©e de moi sans mĂȘme en savoir la raison. Inutile de vous prĂ©ciser que la voir aujourd'hui me faisait plaisir, en rĂ©alitĂ©, elle Ă©mergeait en moi, une double colĂšre malgrĂ© une petite source de plaisir.. Tiens, une revenante. Tu Ă©tais encore Ă la fac' toi ? Non parce qu'on ne sait jamais. La seule chose que j'ai Ă te dire, fais attention la prochaine fois, parce que ça Ă bien tendance Ă m'Ă©nerver. » Je hochais la tĂȘte nĂ©gativement Ă la suite de ses paroles et de ses gestes, la laissant s'Ă©loigner de quelques pas, je pris la peine de m'asseoir enfin sur ma chaise, soufflant d'hĂ©sitation avant de lĂącher froidement Ouais vas y c'est ça casse toi.. Tu le fais tellement souvent depuis quelques mois maintenant, une journĂ©e de plus ne me bouffera pas.. » SpoilerDerniĂšre Ă©dition par Milan S. Wilson le Lun 16 Mai - 1815, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Et maintenant ? {Milan Ven 13 Mai - 2218 Et maintenant on fait quoi ?Milan & Alaska Le 11 mai. Ă chaque dĂ©but d'annĂ©e, aprĂšs qu'il soit passĂ©, je redoutais l'arrivĂ©e de ce jour, parce que ça faisait prĂ©cisĂ©ment un an de plus que Mary Ă©tait morte. Et gĂ©nĂ©ralement ce jour-lĂ , il m'arrivait un truc assez emmerdant. Et aujourd'hui ne dĂ©rogea pas Ă la rĂšgle. Non pas que ma rencontre avec Milan Ă©tait quelque chose de mauvais, mais il faisait partit de l'avant et non de l'aprĂšs. Alors quand je lui avais foncĂ© dessus, que je l'avais reconnu, j'avais tremblĂ©. Parce que je savais qu'il n'aime pas qu'on lui rentre dedans. Or, je n'y Ă©tais pour rien lĂ -dedans. On ne regardait pas oĂč nous allions et on c'Ă©tait rentrĂ© dedans. C'Ă©tait le hasard. Il avait voulu qu'aujourd'hui, j'affronte mon passĂ© et qui c'est ⊠peut-ĂȘtre qu'il voulait que je m'explique avec lui, sur les raisons de ce soudain Ă©loignement que j'avais créé. Par peur et non par envie. Ma main tremblota dans la sienne et je ne sais pas s'il avait senti. En tout cas, quoi qu'il en soit, il n'avait rien dit, m'aidant simplement Ă me relever et Ă ramasser les deux trois affaires qui c'Ă©taient Ă©chouĂ©s au sol. Je soupirais et passais une main dans mes cheveux, les dĂ©gageant de mon visage. Pourtant, quand il ouvrit la bouche, je baissais la tĂȘte, honteuse. J'aurais peut-ĂȘtre dĂ» m'excuser, j'aurais peut-ĂȘtre mieux fais, mais en fait Ă quoi cela aurait servi ? Ă lui montrer quoi au juste ? Que j'Ă©tais dĂ©solĂ©e de lui avoir tournĂ© le dos, comme ça ? Je regrettais, vraiment, mais ce jour-lĂ j'avais tout perdu. S'il savait, il ne voudrait probablement plus me parler. Mais qu'est-ce que ça changerait, franchement ?!Alaska⣠Apparemment. Vue que je suis lĂ Ă te je le poussais un peu pour passer. Je n'avais mĂȘme pas envie de savoir Ă quoi je ressemblais. Je devais avoir l'allure d'un petit chaton sans dĂ©fense, mais je m'en fichais pas mal. J'aurais pus lui gueuler dessus, lui dire d'aller se faire voir, de faire attention, m'excuser, mais quoi ? Comment aurait-il rĂ©agit ? Je n'en savais rien et je prĂ©fĂ©rais ne jamais avoir ma rĂ©ponse. C'Ă©tait sĂ»rement mieux ainsi. Je dĂ©glutis et me tournais un peu la tĂȘte quand il ouvrit Ă nouveau la bouche, accusant le coup encore une fois. Que faire d'autre ? J'Ă©tais lĂąche et plutĂŽt que d'affronter mes problĂšmes face Ă face, je les laissais me passer sous le nez. Je passais une main dans mes cheveux et soufflais, essuyant une larme qui venait de rouler sur ma joue. Je posais mes affaires sur la table Ă cĂŽtĂ©, prenant la place de quelqu'un. Il allait ouvrir la bouche, mais je l'en dissuadais d'un regard. Le type partit rapidement, s'installant Ă plusieurs tables de la mienne. Je posais mon regard sur Milan et le regardais Tu ne sais rien, Milan ! Rien du voix c'Ă©tait brisĂ©e le dernier mot, et j'avais senti les larmes monter au bord de mes paupiĂšres. J'avais tentĂ© de les retenir et ça sembla marcher, puisqu'aucunes ne sortis de mes yeux. Heureusement d'ailleurs ! Je ne sais pas si j'aurais supportĂ© de pleurer devant lui. Je croisais mes bras sur ma poitrine, essayant de me donner une contenance, alors que je n'entendais rien d'autre que le sang qui battait mes tempes au mĂȘme titre qu'un cheval lancĂ© au galop. J'aurais pus sentir le sol trembler sous mes pieds. Longtemps, je le regardais dans les yeux, sans bouger, sans rien dire, serrant simplement mon poing contre moi, plantant mes ongles dans ma paume. Finalement, je secouais la tĂȘte, chassant les images de notre amitiĂ© qui revenaient Ă la charge. Dans mes oreilles, j'entendais en continue depuis ce matin, la voix de Marc me dire que maman Ă©tait Ă l'hĂŽpital. Le mĂ©decin qui vient nous voir et qui nous dit qu'ils n'ont rien pu faire. Puis le rien. J'avais Ă©clatĂ© en sanglots et au lieu de venir me consoler, il Ă©tait partit me demandant sĂšchement de le suivre. Ce que j'avais fais et les roustes Ă©taient tombĂ©es sans interruption Ă la maison, ce soir-lĂ . Je passais ma main dessus, essayant de calmer la brĂ»lure que je ressentais. Je savais qu'elle n'existait pas, mais j'avais l'impression de la sentir. De e revoir dans ce miroir, ses traces de coups sur mon visage. Je secouais encore la tĂȘte, passant une nouvelle fois ma main dans mes cheveux. Je soupirais et tirais la chaise pour m'assoir. Je me laissais tomber dessus et quand un jeune homme s'approcha de moi, je me tendis comme un arc. Il me demanda s'il pouvait l'emprunter et je ne pus que hocher la tĂȘte, sans rien ajouter d'autre. Il me remercia, la prit avec lui et s'Ă©loigna. Toute la pression retomba et je sentis mes Ă©paules s'affaisser Ă ce moment-lĂ . Je dĂ©testais ça. Je ne savais mĂȘme par qui j'avais Ă©tĂ© violĂ©, peut-ĂȘtre que c'Ă©tait une femme. Enfin au vue du sang qu'il y avait eut entre mes cuisses Ă ce moment lĂ , il n'y avait aucuns doutes possible. Je frottais mes yeux et les posais sur Milan, le fixant. MĂȘme s'il ne me regardait pas, je voulais au moins qu'il Au fait, je pense que tu t'en fous complĂštement mais je te le dis quand mĂȘme, tu m'as rebaissais le nez dans mes affaires, mordant ma lĂšvre infĂ©rieur. Pourquoi lui avais-je dis ça ? La rĂ©ciproque n'Ă©tait peut-ĂȘtre mĂȘme pas vrai, mais j'avais besoin qu'il sache que sa prĂ©sence m'avait manquĂ© depuis mon viol. Depuis un an. Je soupirais et essuyais une larme qui venait de rouler sur ma joue. Pourquoi je ressassais le passĂ©, alors que le rĂ©sultat Ă©tait toujours le mĂȘme ? Pourtant, je ne pourrais pas effacer ce jour-lĂ de ma mĂ©moire, puisqu'on m'avait tout enlevĂ©. Je posais mon stylo sur mon livre et tournais la tĂȘte, perdant mon regard dans les Ă©tagĂšres remplies de livres Ă dix mille lieux de lĂ oĂč j'Ă©tais. Pourtant, un bruit Ă cĂŽtĂ© de moi me fit sursauter et je tournais la tĂȘte dans sa direction, fronçant les sourcils. Pourquoi venait-il d'y avoir comme une vibration venant de mon sac ? Je tapotais les poches de mon jeans, or elles Ă©taient vides. Je commençais Ă fouiller Ă l'intĂ©rieur de mon sac, cherchant l'auteur du bruit. Je trouvais mon portable et quand j'appuyais sur une touche pour voir si j'avais eu un message, il n'y avait rien qui s'affichait. Je fronçais les sourcils et le laissais retomber au fin fond de mon sac, attrapant mes feuilles pour relire mes cours, pour demain. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Et maintenant ? {Milan Lun 16 Mai - 2010 Tiens, tu existais encore toi .. ? » Le 11 mai, une journĂ©e qui ne restera pas gravĂ©e dans ma mĂ©moire, bien au contraire. Elle se prĂ©sentait comme le pire cauchemar de ma vie mais aussi comme la journĂ©e la plus Ă©nervante. Ăprouvante en Ă©motions nĂ©gatives, je mâefforçais de ne pas y penser, essayant de penser Ă autres choses qui aurait pu peut ĂȘtre, me donner du baume au coeur ou encore donner une petite touche de couleurs vives sur un tableau de couleur noir qui Ă©tait en rĂ©alitĂ© que la reprĂ©sentation de ma vie Ă cette heure. ComplĂ©tĂ©e par cette rencontre, ou plutĂŽt ces retrouvailles avec Alaska. Cette fille avait durant une longue pĂ©riode berçait mon coeur, me laissant dans de gros doutes quant Ă ce que je pouvais ressentir pour elle ; amitiĂ© ou amour.. ? Telle se posait la question, je n'en avais aucune idĂ©e, je n'avais jamais trouvĂ© cette rĂ©ponse. Certainement dĂ» au fait qu'elle ne m'en avait pas laissĂ© le temps s'Ă©tant Ă©loignĂ©e comme une pauvre voleuse sans mĂȘme m'en donner une seule raison. Mon coeur s'Ă©tait rĂ©ellement brisĂ©, il avait perdu tout son Ă©clat, les laissant tomber peu Ă peu chaque jour. Elle m'avait transformĂ© du jour au lendemain en un ĂȘtre qui n'Ă©tait en rĂ©alitĂ© plus le Milan qu'elle avait connu par le passĂ©, il y a de ça maintenant quelques mois.. J'Ă©tais devenue bien plus froid, une personne de marbre la plupart du temps. Depuis tout ce temps, je m'Ă©tais entiĂšrement consacrĂ© Ă mes Ă©tudes, ne voulant penser Ă rien d'autres qu'Ă mon avenir. J'avais eu beaucoup de mal Ă m'en remettre, je ne peux pas vous mentir. Combien de fois j'avais voulu l'appeler et lui dire qu'elle me manquait ; sa prĂ©sence, ses rires, ses cĂąlins et tout le reste.. Mais je ne l'avais pas fait ayant beaucoup trop de fiertĂ© pour tout ça. J'aurais tellement voulu comprendre ce qu'il se passait pour qu'elle finisse par rĂ©agir de la sorte, mais je n'ai jamais pu le faire, m'ayant rayer de sa vie, comme une pauvre trace de crayon de bois que l'on efface Ă l'aide d'une gomme avec beaucoup de facilitĂ©. Apparemment. Vue que je suis lĂ Ă te parler. » Les seules paroles qu'elle avait osĂ© prononcĂ© sans vraiment montrer une pointe de gĂšne. Cette fille avait un culot monstre, il n'y avait aucune doute. Je soufflais bruyamment d'agacement suite Ă ses paroles, la laissant passer avant de m'installer Ă la table que j'avais choisi quelques minutes auparavant, devant mes affaires. Je sortais un grand papier, le claquant devant moi avant de chercher quelques petites choses dans une grosse encyclopĂ©die. Il fallait que je me concentre, il ne fallait pas que je m'Ă©nerve bien plus que je ne l'Ă©tais dĂ©jĂ , lĂąchant juste un petit ArrĂȘte les Ă©tudes que tu as entrepris depuis ton arrivĂ©e dans cette facultĂ©, et lance toi seulement dans un avenir de clown, tu y gagneras trĂšs bien ta vie, crois moi. » A la fin de mes mots, je soufflais de lassitude, me concentrant de nouveau sur ce que j'avais bien pu faire prĂ©cĂ©demment, il Ă©tait bien mieux pour elle de toute façon. Cependant, je finis par sentir son visage durcit sur le mien, son regard ne me lĂąchait plus. Tu ne sais rien, Milan ! Rien du tout. » Je levais et pivotais ma tĂȘte en sa direction, levant les yeux vers elle avant de rire d'agacement. Cela ne signalait rien de bon, il Ă©tait rĂ©ellement temps qu'elle arrĂȘte. AprĂšs un petit moment de patience, je claquais mon stylo rageusement sur la table avant de compresser ma feuille entre mes doigts, serrant mes dents le plus fortement possible. Instinctivement, mes yeux se fermĂšrent, soufflant quelques secondes avant de rire une nouvelle fois. Si tu crois que je ne le savais pas. De toute façon, c'est ta nature. Mais arrĂȘte de te plaindre et de faire ta petite fille touchĂ©e par tous les Ă©vĂšnements qui t'entourent parce que tu t'enfermes toi mĂȘme et blessent les personnes autour de moi, tu les rejettes comme des pures merdes sans mĂȘme savoir si tu vas leur briser le coeur ou pas ? Et il faudrait que l'on ferme notre gueule et que l'on ne dise rien, qu'on continue de suivre tes plans. RĂȘve pas princesse, ton chĂąteau n'est pas encore bĂąti. » Ma voix se fit trĂšs froide et trĂšs dure. Il Ă©tait trĂšs facile de comprendre la haine que je ressentais Ă son Ă©gare maintenant. J'avais peut ĂȘtre parlĂ© en gĂ©nĂ©ral, sans mĂȘme savoir si d'autres personnes Ă©taient victime de tout ça, mais je savais pertinemment au fond de moi, que je n'Ă©tais pas le seul Ă vivre cette situation. Je ne serais pas la personne Ă la plaindre. Je ne serais pas la personne qui se lĂšvera et qui sera lĂ pour la serrer fort contre moi, prĂȘt Ă lui pardonner tout ce qu'elle m'avait fait. Non, ne rĂȘvez pas, c'Ă©tait ce que j'Ă©tais par le passĂ©. Ce Milan lĂ , n'existe plus regard resta plongĂ© passivement dans le sien durant un long moment. Il n'y avait aucune compassion, juste un regard vide de sentiments qui lui faisait comprendre qu'elle ne recevrait rien de moi. De plus, son jour avait Ă©tĂ© mal choisi pour venir. Elle aurait dĂ» tout simplement s'abstenir. J'attrapais la boulette de recherche que j'avais faite, la dĂ©cortiquant pour apercevoir mes notes, attrapant une nouvelle feuille afin de recopier tout ce qu'il s'y figurait. Il Ă©tait clair que ses notes Ă©taient faites pour moi, mais Ă quoi bon travaillait dans un travail tel que celui lĂ ? A rien du tout, je vous l'accorde. Maniaque sur les bords ? Peut ĂȘtre voire certainement. Je m'Ă©tais alors remis au travail, mĂ©morisant Ă maximum ce qu'il s'y trouvait. Je ne pensais plus Ă rien, je ne voyais plus rien et surtout, je m'efforçais de la voir. J'Ă©tais peut ĂȘtre blessant et mĂ©chant, mais pourtant c'Ă©tait bien ce que mon petit coeur ressentait au plus profond de lui. Apparemment elle n'avait plus envie de parler, aurais je comprimĂ© mon message ? C'est ce que je croyais. Elle ne mit que trĂšs peu de temps Ă me faire rappeler sa prĂ©sence.. Au fait, je pense que tu t'en fous complĂštement mais je te le dis quand mĂȘme, tu m'as manquĂ©.» Ca en Ă©tait trop. J'Ă©clatais de rire me coĂ»tant une remarque de la bibliothĂ©caire. Je m'excusais, avant de me reculer, refermant violemment ses livres et ses cahiers se trouvant en face d'elle. J'attendais qu'elle fixe mon regard pour planter le miens et ne plus la lĂącher Je vais ĂȘtre clair, net et prĂ©cis. Je ne sais pas Ă quoi tu joues ni mĂȘme quelle bonne conscience tu souhaites te donner, mais abandonne toute suite l'idĂ©e des larmes, on est pas dans un film romantique ou tout s'arrange en un claquement de doigts. Alors, calme tes pulsions la belle, tes conneries ne marcheront pas sur moi, ou plutĂŽt ne marcheront plus sur moi. Je ne suis plus ce pauvre con qui se laisse attendrir par tes petites complaintes.. » Je balançais violemment ses cahiers, qui rejoignirent le sol en deux temps trois mouvements. Je me relevais regagnant ma chaise. Les mains tremblant. J'aurais trĂšs bien pu lui dire qu'elle me manquait car sans mentir, elle me manquait terriblement. Seulement, la douleur reprenait le dessus. Je ne pouvais plus ĂȘtre gentil dans ces circonstances. Elle savait trĂšs bien elle mĂȘme, de toute façon, que lorsque mon coeur est atteint, la violence et la mĂ©chancetĂ© en moi sont mes premiers amis. DerniĂšre Ă©dition par Milan S. Wilson le Lun 30 Mai - 1941, Ă©ditĂ© 2 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Et maintenant ? {Milan Mar 17 Mai - 023 Et maintenant on fait quoi ?Milan & Alaska Je ne savais plus si c'Ă©tait un mardi, un mercredi ou un jeudi. Mais au fond, on s'en foutait royalement. La seule chose que j'avais besoin de retenir Ă©tait que c'Ă©tait le onze mai. Le reste, n'avait pas d'importance. Tout avait changĂ© Ă ce moment-lĂ , commençant Ă me plonger dans l'enfer. Ă mes dix-huit ans, tout Ă©tait dĂ©finitivement partie en l'air. J'avais tournĂ© le dos Ă tous mes amis, laissĂ© tomber mon copain, que j'aimais pourtant. Je n'avais jamais donnĂ© d'explications Ă personne, me contentant de les ignorer et de partir quand on me demandait quelque chose ou des explications. J'avais fermĂ© mn cĆur, laissant mon sale caractĂšre rĂ©gner. Je soupirais et lui dis ce que je pensais. Pourquoi agissait-il ainsi avec moi ? Parce que j'Ă©tais partie, le rayant de ma vie, sans rien lui dire ? Non, il y avait autre chose. Je haussais les Ă©paules Ă ce qu'il me dit. Qu'est-ce que j'aurais pus lui rĂ©pondre de toute maniĂšre ? Je l'avais regardĂ© faire, sortir ce papier et s'Ă©nerver dessus. Le message Ă©tait explicite, non ? Casse-toi, tu m'emmerdes. Pourtant, je tenais mordicus Ă lui parler. Il voulait savoir pourquoi j'Ă©tais partie ? TrĂšs bien. J'espĂ©rais juste qu'il n'allait pas ĂȘtre déçu du voyage. Je me durcis, autant dans mon attitude que dans ma voix et que dans mon visage et je lui dis qu'il ne savait rien. Il leva et pivota sa tĂȘte dans ma direction, soufflant d'agacement. Il paraĂźt que j'Ă©tais sacrĂ©ment chiante et incroyablement tenace quand je m'y m'Ă©tais. Finalement, il rigola et je fronçais les sourcils sans comprendre. Non de dieu, il me fait quoi lĂ ? Je passais une main dans mes cheveux, alors que quelques tĂȘtes commençaient dĂ©jĂ Ă se relever et Ă nous regarder, comme si nous Ă©tions un spectacle ambulant. Il ferma les yeux et rit encore. Ooook. Le ton de sa voix, me glaça le sang et il me rendit nerveuse, parce que je sentais l'agacement et l'Ă©nervement dans ses Ăa, j'avais compris que la vie Ă©tait tout, sauf un conte de fĂ©e. J'te rassure, j'ai vite laissĂ© tomber l'idĂ©e d'avoir un prince charmant depuis propre voix n'en menait pas large et elle tremblait pas mal. Pourtant, j'Ă©tais sĂ»re de ce que je disais. Mais j'avais peur de voir une main partir et s'arrĂȘter sur mon visage. Peur qu'il me frappe, parce que malgrĂ© les annĂ©es qui Ă©taient passĂ©es, Milan comptait toujours un peu pour moi. Moi qu'avant certes, mais toujours un peu. Longtemps, nos regards se fixĂšrent et le sien Ă©tait complĂštement vide. Je le soutenais le plus possible, n'ayant pas envie de m'incliner devant lui. Il chercha sa boulette de papier et la dĂ©froissa. Mon corps frissonna, parce que je me dis que pendant quelques secondes, ça aurait put ĂȘtre sa main dans ma tĂȘte. Je fermais les yeux et pinçais mes lĂšvres. Il m'avait connu quand Marc me battait, alors pourquoi rĂ©agissait-il aussi violemment ? Il savait que j'avais peur et que je tremblais au moindre Ă©clat de voix. Je fermais les yeux et me replongeais dans mes livres, cherchant Ă dĂ©coder ce qui Ă©tait Ă©crit. Mais entre Milan et la mort de maman, je n'y arrivais pas. BlasĂ©e, je balançais mon stylo et relevais les yeux vers lui, le fixant. Finalement je lui dis qu'il me manquait malgrĂ© tout. Sa rĂ©action fut trop violente pour moi et j'eus envie de vomir. Un remake d'il y a un an. Il Ă©clata de rire, et balança toutes mes affaires au sol. Je relevais les yeux, fixant mes prunelles dans les siennes. Oui, j'avais peur mais merde ! Il y a une limite Ă tout ça. Il s'Ă©loigna, les mains tremblantes. Je ne l'avais jamais vu comme ça. Je dĂ©glutis et me relevais, je ramassais mes affaires rapidement et la bibliothĂ©caire, me fusilla du regard. Peau d'vache. Je la regardais de travers, avec mon regard de tueuse en sĂ©rie et m'avançais vers Milan. Je l'attrapais par le poignet et ma main claqua sur sa joue, rĂ©sonnant dans toute la piĂšce. La violence ne rĂ©sout peut-ĂȘtre rien, mais bon dieu ça fait du bien ! Toutes les tĂȘtes convergĂšrent vers nous et j'aurais eu envie de tous les voir mourir dans d'atroces souffrances. MalgrĂ© les larmes qui noyaient mes yeux, je relevais le visage vers lui aussi fiĂšre que possible. La vieille femme s'avança vers nous, pour nous demander de sortir, mais je tournais la tĂȘte vers elle, l'obligeant Ă s'arrĂȘter. Si les regards pouvaient tuer ⊠Je reportais mon attention sur le grand mĂ©tisse face Ă moi et plantais mes yeux Ă©meraudes dans les Tu veux vraiment savoir pourquoi j't'ai tournĂ© l'dos du jour au lendemain ? Tu veux savoir pourquoi j'ai changĂ© d'un seul coup ? Pourquoi j'ai plus voulu te voir aprĂšs mes dix-huit ans ?! Tu veux vraiment le savoir Milan ? RĂ©ponds-moi, bordel !Je sentais une larme rouler sur ma joue. C'Ă©tait juste insupportable. Il voulait savoir la vĂ©ritĂ©, il allait la connaĂźtre. Tant pis pour les consĂ©quences. Je m'en fichais complĂštement si la moitiĂ© de la fac Ă©tait au courant de ça. Ăa n'avait plus d'importance. Je reculais jusqu'Ă ma table et rĂ©cupĂ©rais mes affaires Ă la va-vite. Plus personne ne bougeait, le temps Ă©tait suspendu. Comme si on attendait le dĂ©nouement, sauf que celui ci ne serait pas joyeux. L'hĂ©roĂŻne ne s'en sortait pas Ce soir lĂ , le soir de mes dix-huit ans, on m'a violĂ©. Est-ce que ça te va comme raison pour que je me sois partie ou non ? Est-ce que ça te convient ou ça n'a pas assez d'importance Ă tes yeux pour que tu comprennes pourquoi j'ai voulu couper les ponts avec toi ?Sans jamais attendre de rĂ©ponses, je m'avançais vers la sortie, essuyant mes larmes avec ma manche. Les regards des autres brĂ»laient mon dos et ils savaient. Tous. Finalement, ça n'avait aucune importance et je n'allais pas mieux. Au contraire. Je n'aurais jamais dĂ» lui en parler, et j'aurais mieux fais de fermer ma gueule et de partir dĂšs le dĂ©but. Sauf que ce n'Ă©tait pas mon genre de fuir lĂąchement un affrontement. Ăa aurait dut arriver un jour ou l'autre et ce jour c'Ă©tait maintenant. Je le bousculais, sans mĂȘme m'excuser, la tĂȘte baissĂ©e, honteuse. J'avais honte de moi, honte de ce que j'Ă©tais. Au fond j'Ă©tais qui, quoi ? Une fille de dix-neuf ans, abandonnĂ©e, adoptĂ©e par deux amĂ©ricains. Sa mĂšre morte, son pĂšre la battait. Puis elle a Ă©tĂ© violĂ©. La petite princesse a vue son petit chĂąteau tomber en ruine, devant ses yeux. Elle a tout fermĂ©, ne voulant plus avoir mal. Je dĂ©gageais une mĂšche de cheveux de devant mes yeux et poussais violemment la porte, l'envoyant valser contre le InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Et maintenant ? {Milan Lun 30 Mai - 1952 Tiens, tu existais encore toi .. ? »J'avais adorĂ© le temps que j'avais passĂ© avec elle par le passĂ©, il Ă©tait rare que nous ne passions pas un petit moment de la journĂ©e ensemble, Ă se parler, Ă rire ou encore Ă s'accompagner dans des lieux oĂč nous aimions aller tous les deux. J'adorais rĂ©ellement tout ça, seulement le temps change et il faudrait Ă©galement spĂ©cifier que les gens Ă©galement. Je ne la reconnaissais plus, elle avait tellement changĂ©, elle Ă©tait tellement diffĂ©rente.. Moi qui avait un coeur de pierre, elle avait rĂ©ussi Ă me briser cette carapace et me le fendre un peu plus encore. J'Ă©tais passĂ© d'une passion folle Ă une haine Ă©norme, j'Ă©tais prĂȘt Ă tout lui faire payer, mĂȘme s'il me faudrait du temps. Elle comprendrait prĂ©cisĂ©ment ce que je vis depuis son dĂ©part.. Car, soyons rĂ©aliste, je ne pense pas que mes sentiments Ă©taient Ă la hauteur d'une simple amitiĂ© fille-garçon, au contraire, je pense mĂȘme avoir ressenti bien plus que cela. Seulement en avait elle eu conscience une seule fois dans sa vie ? Avait elle essayĂ© de passer au delĂ de son Ă©goĂŻsme et essayer de savoir ce que je pouvais dissimuler sous ma carapace masculine ? Non, rien. Cette fille ne pense qu'Ă elle, qu'Ă son bonheur et sa petite personne, sans mĂȘme savoir ce que pourrait vivre les autres. Je ne dis pas non plus qu'une amitiĂ© fille garçon, ne puisse jamais existĂ©, bien au contraire, je ne suis pas tombĂ© dingue de toutes les filles qui m'entouraient, et qui font d'ailleurs partie de mon cercle amical. Non, pas la moindre du monde, mais Alaska faisait bien l'exception de la rĂšgle. Il est clair que j'avais aimĂ© cette fille mais putain quelle connerie avais je pu faire. Ăa, j'avais compris que la vie Ă©tait tout, sauf un conte de fĂ©e. J'te rassure, j'ai vite laissĂ© tomber l'idĂ©e d'avoir un prince charmant depuis Aaron. » Nous Ă©tions des animaux de foire Ă cet instant, il fallait bien le croire ; quelques tĂȘtes prĂ©sentes dans la bibliothĂšque de l'universitĂ© avaient tournĂ© la tĂȘte vers nous possĂ©daient par une telle curiositĂ© de savoir ce qu'il se passait Ă non pas quelques mĂštre d'eux. J'Ă©tais dĂ©jĂ assez Ă©nernĂ© et croyez moi que ce genre de choses avaient don de me mettre bien plus en colĂšre. C'est d'un regard tueur que je les Ă©piais tous, les laissant se concentrer une nouvelle fois trĂšs rapidement dans leur travail tandis que pour d'autres, le temps de fuir les avait envahi. Je reposais alors mon regard de nouveau sur elle avant de replonger mon regard sur ce que j'Ă©tais entrain d'effectuer quelques minutes auparavant. Non, elle n'Ă©tait pas digne de recevoir un vĂ©ritable regard, ni mĂȘme une seule complainte de ma part. Il y a des fois on s'demande bien si tu comprends ce qu'est ce monde, tu vis tellement dans ta petite bulle et tu accordes tellement peu d'importance aux gens.. » Sa voix tremblait et Ă vrai dire, il Ă©tait mĂȘme trĂšs facile de voir qu'elle Ă©tait apeurĂ©e. Mais de quoi ou cependant de qui ? De moi ? Laissez moi rire, j'Ă©tais peut ĂȘtre un homme Ă qualifier de mĂ©fiant mais je n'Ă©tais pas le genre de brute Ă frapper une fille Ă tour de bras mĂȘme si pourtant j'Ă©tais peut ĂȘtre trĂšs Ă©nervĂ©. Il ne fallait quand mĂȘme pas exagĂ©rĂ©, je n'Ă©tais pas un homme dangereux non plus. Soupirant de lassitude, je me remis au travail laissant le silence reprendre le dessus de la conversation. Nous n'entendions plus que les mouches volĂ©es, et surtout je ne faisais mĂȘme plus attention Ă sa prĂ©sence. Elle n'existait plus, enfin. Elle avait peut ĂȘtre prononcĂ© une parole de trop. Une seule parole de trop qui m'avait fait sortir de mes gonds. Je m'Ă©tais levĂ© brusquement de ma chaise, avançant d'un pas rapide jusqu'Ă la table oĂč elle s'Ă©tait installĂ©e, et d'un geste rapide et violent de la main, toutes ses affaires avaient regagnĂ© le sol. Elle m'avait bien trop cherchĂ©, seulement elle me prit de cours quand elle articula la suite, trĂšs Ă©nergiquement. Tu veux vraiment savoir pourquoi j't'ai tournĂ© l'dos du jour au lendemain ? Tu veux savoir pourquoi j'ai changĂ© d'un seul coup ? Pourquoi j'ai plus voulu te voir aprĂšs mes dix-huit ans ?! Tu veux vraiment le savoir Milan ? RĂ©ponds-moi, bordel ! » Elle n'aurait jamais du haussĂ© le ton comme elle venait de le faire, cela avait dont de m'Ă©nerver bien plus encore Bah vas y accouche qu'est ce que tu attends ! » Je la regardais droit dans les yeux, soutenant son regard encore et encore. Si elle croyait que j'allais baissĂ© les yeux devant elle, elle se mĂ©prenait. Jamais, je serai soumis Ă elle, mĂȘme par amour. Ses larmes Ă©taient montĂ©es dans ses petits yeux. Elle Ă©tait rĂ©ellement triste et atteint par ce qu'il allait suivre. Plus aucun bruit ne parcourait la salle. Je l'Ă©coutais.. Ce soir lĂ , le soir de mes dix-huit ans, on m'a violĂ©. Est-ce que ça te va comme raison pour que je me sois partie ou non ? Est-ce que ça te convient ou ça n'a pas assez d'importance Ă tes yeux pour que tu comprennes pourquoi j'ai voulu couper les ponts avec toi ? » Silence, double silence, triple silence. Mon coeur s'Ă©tait arrĂȘtĂ©, il avait fait le tour de ma poitrine et s'Ă©tait arrĂȘtĂ© de nouveau. J'avais clignĂ© des yeux que deux secondes et les avaient laissĂ© se fixaient de nouveau, tournant un millions de fois encore ses mots dans ma tĂȘte. Ce n'Ă©tait pas possible, elle n'avait pas pu vivre ça.. Pourquoi m'en avait elle jamais parlĂ© ? Pourquoi ne m'avait elle pas fait confiance ? J'avais toujours Ă©tĂ© lĂ pour elle, toujours lĂ dans n'importe quelles situations prĂȘt Ă la soutenir dans toutes ses Ă©preuves, mais rien, elle ne m'avait rien dit. Elle n'avait peut ĂȘtre plus assez confiance en moi, enfin je ne sais pas vraiment. A vrai dire, ces questions n'Ă©taient plus que le cadet de mes soucis. En revenant Ă la rĂ©alitĂ©, je la vis se diriger les affaires replacĂ©es dans le sac, en direction de la sortie. Je ne mis que quelques minutes pour ranger les miennes, et de courir aprĂšs elle. Il Ă©tait temps de parler, elle ne m'Ă©chapperait ps une nouvelle fois et surtout, je ne le supporterais pas. Je claquais alors la porte de la bibliothĂšque la rattrapant au milieu du couloir, par le bras, la retournant vers moi. Pardon ? Qui ? OĂč ça ? Pourquoi tu ne m'en as jamais parlĂ© ? Tu savais pertinemment que j'Ă©tais toujours lĂ pour toi, et tu n'y as mĂȘme pas pensĂ©, tu m'as fait te dĂ©tester pour une histoire dans laquelle tu ne joues que le rĂŽle d'une victime Alaska ! Putain, mais parle maintenant bordel ! Montre moi au moins que je ne suis pas que de la merde Ă tes yeux ! » Je ne savais plus quoi dire, je ne trouvais plus les mots justes pour essayer de faire quelques choses. Tout ce qui Ă©tait sur c'est que j'Ă©tais lĂ et qu'elle n'Ă©tait pas prĂȘte de partir comme ça. La seule chose que je sus faire Ă©tait peut ĂȘtre bien de replacer une mĂšche de ses cheveux derriĂšre son oreille et de sĂ©cher les larmes, ses larmes qui perlaient sur sa joue, silencieux, son autre main dans la InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Et maintenant ? {Milan Sam 4 Juin - 131 Et maintenant on fait quoi ?Milan & Alaska Avec Milan, on se connaissait tellement de temps et on avait souvent passĂ© du temps ensemble, dĂšs qu'on pouvait que j'avais l'impression de le connaĂźtre par cĆur. J'avais aussi l'impression qu'il savait mieux que quiconque comment je marchais. Enfin de ce cĂŽtĂ© lĂ , je n'avais pas de point de rĂ©fĂ©rence. Avant, on Ă©tait souvent fourrĂ© tout les deux ensemble, quand je n'Ă©tais pas avec Aaron ou que nous n'avions pas cours. Je m'en rappelle trĂšs bien. On restait des heures, seulement tout les deux Ă parler en nous promenant dans nos endroits prĂ©fĂ©rĂ©s. Parfois Milan avait rĂ©agit bizarrement, je m'en rappelle. Souvent, quand des garçons venaient me voir pour essayer de me draguer, j'avais l'impression de voir Aaron. Je ne disais rien, me taisais, parce que j'avais compris. Je voulais une simple amitiĂ© avec lui et il voulait plus. J'aimais Aaron et Milan, mais chacun d'une maniĂšre diffĂ©rente. J'avais pris conscience de ça, un jour et je n'avais jamais rien dis. Peut-ĂȘtre que lui-mĂȘme ne le savait pas ou qu'il me le cachait. Je ne lui avais jamais posĂ© la question, parce que je ne voulais pas le perdre. Oui, c'Ă©tait Ă©goĂŻste de faire comme si de rien n'Ă©tait, mais je tenais Ă nous de cette maniĂšre lĂ . J'avais voulu prĂ©server notre amitiĂ© au dĂ©triment de gens nous fixaient. Je n'aimais pas ça. J'avais trop l'impression d'ĂȘtre un animal exposĂ© aux yeux de tous. Milan leur jeta un regard digne des plus grands tueurs en sĂ©ries et ils tournĂšrent tous leurs tĂȘtes, reprenant leur lecture oĂč ils l'avaient arrĂȘtĂ©. Je passais une main dans mes cheveux, les ramenant en arriĂšre et plantais mes yeux dans les siens, sourcils froncĂ©s. J'avais dĂ» mal Ă saisir tout sa haine dirigĂ© vers moi. Comment en un an avait-il pĂ»t changer autant ? J'avais peur de lui. De son attitude, de l'intonation de sa voix, de ses paroles tranchantes. Je fermais les yeux, tentant de retenir le flot de larmes qui menaçait de sortir Ă n'importe quel moment. Je reculais d'un petit pas, manquant de lĂącher un couinement. Je serrais la mĂąchoire durement, Ă m'en faire mal. Je ne voulais pas craquer devant lui, je ne devais pas craquer devant lui. J'avais envie de le gifler, mais j'avais tellement de sa rĂ©action que je me contentais de serrer le poing, sans rien faire. Il retourna Ă son travail comme si de rien n'Ă©tait. Comme si je n'existais plus. Je voulais que tout redevienne comme avant, qu'on retrouve cette complicitĂ© d'avant, mais c'Ă©tait trop tard. En lui tournant le dos, je l'avais perdu. Il arriva vers moi, balança mes affaires au sol et lĂ je craquais. Pour la premiĂšre fois depuis que je lui avais foncĂ© dedans dans cette bibliothĂšque, j'Ă©levais la voix. Quand Milan me rĂ©pondit, gueulant presque aussi fort que moi, le silence venait de se faire dans la salle. Je le regardais, ancrant mes yeux dans les siens. Je voulais qu'il voit que je ne jouais pas la comĂ©die, que ce n'Ă©tait pas du faux. Je voulais qu'il sache que je souffrais vraiment. Je lĂąchais la bombe. Je dis Ă mon ancien ami que j'avais Ă©tĂ© violĂ© le soir de mes dix-huit ans, que c'Ă©tait pour n'avait pas soufflĂ© un mot. Comme toute la bibliothĂšque. Les larmes avaient commencĂ© Ă rouler sur mes joues, sans que je ne puisse rien y faire. J'ai lancĂ© un regard circulaire Ă la salle. Tous me fixaient, leurs regards mĂ©langĂ©s de compassion et de pitiĂ©. J'ai essuyĂ© mes yeux d'un rapide coup et je me suis tournĂ©e vers mes affaires. Je ne voulais pas rester ici, j'avais trop l'impression d'Ă©touffer. J'ai tout rassemblĂ©, ramassant ce que Milan avait renversĂ© et j'ai tout fourrĂ© Ă la va-vite dans mon sac. J'ai encore une fois pris la fuite devant lui. PlutĂŽt que d'affronter le regard des autres, plutĂŽt que de devoir supporter ça, j'ai prĂ©fĂ©rĂ© tourner le dos, encore une fois. J'ai poussĂ© la porte de la bibliothĂšque avec une force que je ne me connaissais pas. J'avais mal encore. Comme si tout ça c'Ă©tait passĂ© hier. Je n'en avais jamais parlĂ© aux gens que je frĂ©quentais avant par honte. Je n'Ă©tais rien que fille qui c'Ă©tait faite violĂ©e. Je ne serais plus jamais quelqu'un et j'avais prĂ©fĂ©rĂ© m'enfermer et m'isoler des gens qui auraient put me tirer vers le haut et m'aider. J'entendis la porte claquer derriĂšre et j'ai tentĂ© d'accĂ©lĂ©rer le pas, mais c'Ă©tait sans compter sur la grande taille de mon poursuivant. Il m'a rattrapĂ© en trĂšs peu de temps, m'attrapant par le bras pour m'arrĂȘter. Il m'a fait face et a commencĂ© Ă me J'en sais rien de qui c'est ! Il m'a attrapĂ© par derriĂšre et m'a emmenĂ© dans la ruelle. Tu t'rappelles de cette espĂšce de rue qui partait sur la gauche, vers le lycĂ©e ? C'Ă©tait de calmer mes larmes, mais c'Ă©tait inutile. Pendant tout le temps oĂč j'avais parler, Milan avait gardĂ© sa main dans la mienne et par moment je la serrais un peu plus fort. Il a essuyĂ© mes larmes de son autre main et a remit une mĂšche de mes cheveux en place. J'ai relevĂ© mes yeux vers les siens, reniflant d'une maniĂšre trĂšs peu Parce que tu crois que c'Ă©tait facile, peut-ĂȘtre ?! J'ai Ă©tĂ© humiliĂ©, Milan ! Il m'a prit la seule chose que j'aurais voulu donner de mon propre grĂ©, il m'a salit. Ma psy me dit que j'ai dĂ» bol, dans un sens, parce que j'ai Ă©tĂ© assommĂ©. Je n'ai rien senti, rien vu, j'ai juste constatĂ©. Tu n'as pas Ă©tĂ© et tu ne seras jamais de la merde Ă mes yeux, Milan ⊠Mais je ne pouvais plus vous voir aprĂšs ça ⊠J'avais peur de toi et d'Aaron. MĂȘme si je vous connaissais. J'voulais pas que vous changiez d'attitude avec moi, que vous deveniez diffĂ©rent et surtout que vous pitiĂ©. Alors j'ai fais la chose la plus simple, je vous ai tournĂ© le libĂ©rais ma main de son emprise. Qu'es-ce que cela aurait changĂ© si je lui avais dis ? Comment aurait-il rĂ©agit ? J'avais peut-ĂȘtre fait la plus Ă©norme bourde de toute ma vie en leur tournant le dos, mais sur le coup, je n'avais pas vu d'autres solutions. J'avais peur de rester seul avec Milan ou avec Aaron, alors j'avais fuis. Je reculais de quelques pas, essuyant mes larmes. Je croisais mes bras sur ma poitrine, tellement vulnĂ©rable et petite en cet instant. Je rentrais ma tĂȘte dans mes Ă©paules et le fixais dans les Si je te l'avais dis avant Milan, tu aurais fais quoi ? Hein ?Il avait eut ses rĂ©ponses, je voulais les miennes. Je resserrais ma prise sur mon corps si frĂȘle et sentis une Ă©niĂšme larme couler le long de ma joue, la dĂ©valer lentement, coupant ma peau d'une maniĂšre dĂ©sagrĂ©able. Elle est arrivĂ©e Ă mon menton, pour continuer sa route dans mon cou et mouiller les quelques mĂšches de cheveux qui retombaient Ă cet endroit, sur son chemin. Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re Et maintenant ? {Milan Et maintenant ? {Milan Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage Pourfaire vous mĂȘme vos pots de papier. il vous faut: du papier journal, si possible noir et blanc. une paire de ciseaux. une bombe aĂ©rosol (5 cm de diamĂštre) Pour faire prĂ©cis, vous pourrez prendre en plus une rĂšgle pour mesurer vos largeur de papier, mais ce nâest pas indispensable. On peut trĂšs bien faire sans, en coupant au juger.ï»żContents1 Comment faire un emballage en papier?2 Comment faire pour crĂ©er son propre papier cadeau?3 Comment faire un soufflet sur un sac?4 Comment faire du papier cadeau sans papier cadeau?5 Comment faire une pochette en carton?6 Comment faire des pochettes surprise?7 Comment emballer une Ă©charpe?8 Comment faire une boĂźte Ă bonbon? Il consiste Ă couper le rouleau de papier aux dimensions requises Ă lâaide dâune machine Ă dĂ©couper, aprĂšs quoi le papier est pliĂ©, collĂ© et cisaillĂ©. Dans la production Ă grande Ă©chelle, une machine Ă papier automatique est utilisĂ©e pour plier le papier en forme de sacs. Emballez vos cadeaux avec des magazines, livres et cartes routiĂšres 1 â Les photos de magazines font de superbes papiers cadeau. 2 â Les articles que vous avez dĂ©jĂ lus se recyclent. 3 â Sauvez un livre du pilon. 4 â RĂ©utilisez les cartes routiĂšres dont vous ne vous servez plus. Couper les 2 parties du sac, dos et devant, selon le patron et surfiler tous les cĂŽtĂ©s. Poser endroit contre endroit les 2 morceaux de tissu, coudre les 3 cĂŽtĂ©s du sac Ă 1 cm du bord. Ouvrir les coutures en repassant. Plier le sac, couture de cĂŽtĂ© sur la couture du fond. Emballer dans du papier de rĂ©cup des posters non utilisĂ©s ou quâon nâaime plus. utiliser les pubs des magazines pour un petit cadeau. emballer dans de vieilles cartes routiĂšres, utiliser des chutes de papier peint. Percer 2 trous dans le petit rond de papier gommĂ©. Passer le fil de coton attachĂ© au bouton tout autour de la pochette. Couper lâextrĂ©mitĂ© du fil pour ajuster la longueur nĂ©cessaire et enfiler le bout du fil dans le rond de papier gommĂ©. Faire un noeud au bout du fil. Commencez par rĂ©unir tout le matĂ©riel et vos petites surprises. Enroulez le papier de maniĂšre Ă former un cĂŽne et fixez ce cĂŽne Ă lâaide dâun bout de scotch invisible ou pas, comme vous le souhaitez. Glissez un papier de soie colorĂ© ou en tout cas dâune autre couleur que le premier papier, pour contraster le tout! 1 Tout dâabord, prenez votre foulard et pliez-le plusieurs fois dâaffilĂ©e de façon Ă obtenir un petit triangle. 2 Ensuite, dĂ©coupez une bande de papier cadeau en kraft. Puis, placez le foulard au milieu et ramenez les deux parties de la bande et attachez-les Ă lâaide du ruban adhĂ©sif. Pour rĂ©aliser cette petite boĂźte Ă bonbon DIY, vous aurez besoin dâun peu de papier cartonnĂ©. Ensuite, il vous faudra une paille en papier, du papier colorĂ© et un peu de colle. Vous pourrez ainsi fabriquer un joli Ă©lĂ©ment de dĂ©coration qui collera parfaitement avec lâanniversaire de votre enfant.DGZzmM.