Quelniveau de mandarin as tu ? - page 8 - Topic [TAIWAN] Je suis le PLUS gros ESCLAVE du FORUM du 25-04-2019 16:43:55 sur les forums de jeuxvideo.com
[Sommaire]Le Prologue du CommencementOu oĂč tout Ă commencĂ© ? Non vraiment, oĂč ?Tout a commencĂ© sur un vieux forum poussiĂ©reux...Ouais nan, on va la refaire. Il y a longtemps, un coyote anthropomorphe fou vivait dans une grotte, et menait une vie des plus banales. Mais un jour, il trouva par terre de vieilles VHS moisies et cabossĂ©es des films Star Wars. N'ayant pas de lecteur VHS, mais tout de mĂȘme piquĂ© dans sa curiositĂ©, il dĂ»t se rabattre sur des parodies, des contrefaçons et copies pirates douteuses, fournies par son cousin Jean-Jacques Tuning qui lui vivait dans une camionnette. AprĂšs avoir vu ces films, entre deux louches de vodka et deux visionnages de Jackass et de What The Cut, il jeta les VHS au feu pour se chauffer. Mais, la fumĂ©e du plastique envahissant sa grotte, il commença Ă tousser, Ă vaciller, Ă voir double, triple, quadruple, et lĂ , Ă la frontiĂšre entre la vie et la mort, il eut un avant-goĂ»t mi-salĂ© mi-sucrĂ© mi-acide de l'Infini. Pensant ĂȘtre sur le point de rencontrer son crĂ©ateur, il fut interrompu par trois robots Ă tĂȘte de disque qui toquĂšrent Ă sa grotte, qui clamĂšrent dâune mĂȘme voix nasillarde Bonjour, avez-vous entendu parler de notre crĂ©ateur et sauveur Death Star Bricks ? » Mais ce rĂȘve Ă©trange s'arrĂȘta subitement quand il se rĂ©veilla, car ce n'Ă©tait qu'un rĂȘve. En effet, Star Wars n'existait pas encore Ă son Ă©poque, et il enrageait de ne plus pouvoir regarder ces films incroyables qu'il croyait pourtant si rĂ©els. Et rien ne pourrait jamais le consoler du fait que cette Ćuvre n'existĂąt pas. C'est comme s'il avait Ă©tĂ© sur le point de croquer le saint GatĂŽ de la vie Ă pleines dents, mais qu'on lui avait aussitĂŽt retirĂ© sans aucun espoir de le revoir. Dans sa frustration, le coyote dĂ©cida de réécrire Star Wars tel qu'il s'en souvenait, entre les lignes d'un vieux livre de recettes intitulĂ© "Les 1001 recettes de Gargantua le Hutt". Il y mit les idĂ©es les plus saugrenieuses et farfelesques qui lui passaient par la tĂȘte, et il avait bien raison de le faire car câĂ©tait son seul divertissement. Ainsi fut Ă©crite la premiĂšre version du texte qui inspira celui que vous tenez entre les mains ou sur votre PC, bref on sâen fout. Un jour de 1er avril il y eut une grande tempĂȘte, et la grotte fut inondĂ©e. En rĂ©alitĂ©, ce n'Ă©tait pas une tempĂȘte, mais les pompiers du village qui voulaient faire une bonne blague au coyote. Les pages de son livre furent Ă©parpillĂ©es dans l'eau, mais il en rĂ©cupĂ©ra un maximum et les recolla tant bien que mal avec ses papattes maladroites. On ne sait s'il rĂ©ussit Ă rĂ©cupĂ©rer toutes les pages, ni s'il rĂ©ussit Ă les recoller dans le bon ordre. Un soir de pleine lune, alors que le coyote dormait, la petite sorciĂšre MĂ©dusine pas MĂ©lusine, non, mais sa cousine lunatique se faufila dans la grotte et subtilisa le dit manuscrit. Elle le lut attentivement, y ajouta quelques notes et observations de son cru, puis le reposa exactement lĂ oĂč elle l'avait trouvĂ©, non sans un petit rire malicieux qui voulait tout dire. Des centaines d'annĂ©es aprĂšs la mort du coyote fou, son livre fut retrouvĂ© par des moines copieurs non pas copistes, mais copieurs, câest-Ă -dire spĂ©cialisĂ©s dans le plagiat, qui réécrivirent le texte en y ajoutant toutefois leur grain de sel. Ils furent longtemps les seuls dĂ©tenteurs de la fameuse Fan-Fic, jusqu'Ă une nuit oĂč le prince des voleurs lui-mĂȘme, Ali Babouche El Loukoum, se glissa dans leur monastĂšre pour leur sucrer le saint ouvrage. Nous nâavons aucune garantie que ce dernier n'ait pas Ă son tour modifiĂ© le texte pour mieux se l'approprier. Mais il ne le publia jamais, le gardant jalousement comme un trĂ©sor, ne sachant rĂ©ellement quoi en faire. Sur son lit de mort, atteint de sĂ©nilitĂ© morbide, il dĂ©clara que ce livre portait une malĂ©diction, la fameuse "MalĂ©diction du Couscous", et qu'il devait, pour le bien de l'humanitĂ©, Ă tout prix ĂȘtre dĂ©truit dans les flammes du Mordor. Ăvidemment, personne ne comprit de quel livre il parlait, puisqu'il ne l'avait jamais montrĂ© Ă personne. Plusieurs gĂ©nĂ©rations passĂšrent, et ses descendants, nâayant pas entendu la mise en garde dâEl Loukoum, trouvĂšrent le livre entre deux vieux grimoires moisis au fond d'un cagibi. Ils trouvĂšrent l'histoire tellement amusante, qu'ils dĂ©cidĂšrent de lâamĂ©liorer en y ajoutant leurs propres gags. L'un dâeux tenta de la faire publier, mais l'humour Ă©tait tellement douteux qu'aucune maison d'Ă©dition n'en voulut. Le livre continua de passer de main en main, de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, dâun propriĂ©taire tordu Ă un autre, subissant chaque fois de nouvelles modifications afin d'en faire, selon son possesseur, l'Ćuvre parfaite. Puis un jour, dans le futur, ce fut la What-This-Niais Pictures Corporation, entreprise dont je tairai le nom oui bon, tout le monde a compris que câĂ©tait Disney, qui mit la main dessus et dĂ©cida de l'adapter au cinĂ©ma. Bien que controversĂ©, ce film fit un carton mondial et intergalactique, preuve indiscutable de son gĂ©nie. Enfin, notre cher Death Star Bricks, irrĂ©ductible et invĂ©tĂ©rĂ© fan de Star Wars, rĂȘva une nuit qu'il avait vu ce film car encore une fois, tout ceci nâĂ©tait quâun rĂȘve, et l'apprĂ©cia si bien et tant est qu'en se rĂ©veillant, il dĂ©cida Ă son tour, comme le coyote, d'adapter en livre l'Ćuvre qu'il avait vue en rĂȘve mais qui nâexistait pas encore dans le monde rĂ©el. L'histoire que vous vous apprĂȘtez Ă lire est une retranscription plus ou moins exacte de ce qu'il Ă©crivit Ă ce moment-lĂ ....Ă moins qu'une fois de plus, tout ceci ne soit encore qu'un rĂȘve. Comment en ĂȘtre sĂ»r ?IntroduxeCertains prĂ©tendent que la GUERRE peut ĂȘtre sâimaginent que les CICATRICES quâelle laisse les rendent plus il nâen est Guerre nâest que CHAOS et nos Cicatrices, rien de plus quâun cruel rappel de nos nây a quâen les acceptant comme tels que nous pourrons avoir une claire vision de ce que nous sur la vaste plan de lâunivers, nous sommes...Nous sommes...Mais qu'est-ce qu'on est, en fait ?-Tablettes de Qorgno, Versatile 16960 000 ans avant la bataille de FarineDans le vide glacial de lâespace infini, rĂ©gnait un silence de mort. Seule la lumiĂšre des astres trahissait lâexistance de la vie, sĂ©parĂ©s les uns des autres par des distances inimaginables. Alors que le conflit qui ravageait la galaxie touchait une fois de plus Ă son paroxysme, les Ă©toiles brillaient et contemplaient, comme elles lâavaient toujours fait, dans la plus grande indiffĂ©rence. Si les Ă©toiles se souciaient peu de disparaĂźtre un jour â ce qui, Ă terme, finirait malgrĂ© tout par arriver â les ĂȘtres vivants qui parcouraient cet espace Ă©taient, eux, infiniment plus petits et insignifiants. MalgrĂ© tout, certain de ces ĂȘtres Ă©taient mus par lâintime conviction que leurs actes resteraient gravĂ©s dans lâĂ©ternitĂ©. Avaient-ils raison de penser ainsi ? Seules les Ă©toiles resteront assez longtemps pour le dire. Et quand il nây aura plus dâĂ©toiles, alors il nây aura plus rien ni personne pour en porter tĂ©moignage. Dans les tĂ©nĂšbres obscures dâun avenir lointain, seuls les plus violents cataclysmes auront laissĂ© une marque indĂ©lĂ©bile sur la galaxie. Et quand le chaos aura atteint une puissance et une empleur qui dĂ©passent lâentendement, Ă jamais lâunivers porteraâŠLES CICATRICES DE LA GUERRE.âMusique dramatique et fondue au noirChaptel 1 â PanikabörVomi hors du Wrap dans lâespace rĂ©el au-dessus dâune petite planĂšte Ă la couleur jaunie et dĂ©lavĂ©e, le croiseur de guerre algĂ©randien nommĂ© le Tardive XIII fut immĂ©diatement suivi par un vaisseau bien plus grand et imposant, couvrant la moitiĂ© de son champ de vision de sa forme trianguleuse noire titanesque, striĂ©e de minces sillons vicieusement discrets de rouge et de jaune. Le Constricteur stellaire ostentatoire de classe Gorgone Ă©tait presque aussi grand que la ridicule petite planĂšte, tellement massif que sa simple prĂ©cence pouvait presque dĂ©vier Tatane de son orbite naturelle. Mais les truculents malfaiteurs qui pilotaient ce vaisseau nâĂ©taient pas lĂ pour se soucier du cours des planĂštes, ni de leurs habitants. Leur unique but, et qui avait justifiĂ© de dĂ©ployer une telle puissance militaire en un endroit aussi isolĂ©, Ă©tait de prendre le petit vaisseau Indocile en tenailles pour le neutraliser. Et mĂȘme si ce dernier ne reprĂ©sentait quâune menace mineure, sa simple existence Ă©tait insupportable aux sbires infĂąmes de lâEmprise. Ă cet instant, la duchesse Ella Ganor, belle et brave cheffetaine en robe blanche eh oui, Ă l'Ă©poque il n'y avait pas besoin d'un bikini pour sĂ©duire, chefferette officieuse, donc, des Indociles de l'ALALA Alliance Libre pour l'Amour et le Libre-Arbitre, savait quâil nây avait plus de fuite possible. HapĂ© par une force incommensurable semblable Ă celle dâun trou noir, puis solidement agripĂ© par les mandibules de maintien sous la bouche bĂ©ante du monstre de mĂ©tal, le Tardive XIII sâapprĂȘtait Ă subir un abordage dâune violence dĂ©vergondĂ©e. La duchesse, curieusement inquiĂšte, examinait dâun air gravissime les Ă©crans dâurgence, qui Ă©clairaient le pont de commandement dâune lueur rouge incarnate. Alerte rougeoyante, alerte rougeoyante » dĂ©clara une voix automatique dans le micro. Menace diabolique de puissance 13. » â Puissance 13 ? s'Ă©cria la duchesse. Mais l'an dernier, c'Ă©tait Puissance 4 ! Eh oui », rĂ©pondit la voix automatique. Vous savez bien qu'avec l'Emprise, ça va toujours de pire Empire. » Son automate personnel, C6T-Matic, vint lui apporter un plateau de friandises algĂ©randiennes et trottinant sur ses petits pieds mĂ©talliques. Le regard du robot avait quelque chose dâinexplicablement sournois. â Une friandaise, maĂźtrice ? â Je pense que ce nâest pas le moment, C6T. Si tu veux mâaider, prends donc un fusilazeur et va aider les gardes Ă dĂ©fendre le vaisseau. Au cas oĂč tu ne lâaurais guĂšre remarquĂ©, nous sommes dans la panure ! La Paname !! La panade !!! â Mais enfin, mĂ©traĂźse... vous savez que je ne suis pas programmĂ© pour le combat. Pourquoi me demandez-vous toujours lâimpossible ? â Silence, machine. Tu ne mâes dâaucun secours. Si tu nâas rien de mieux Ă faire que discuter mes ordres, va donc te dĂ©sactiver. Lâautomate la dĂ©visagea de son regard toujours inexpressif. Elle ne le regardait mĂȘme pas dans les yeux. Aux yeux de la duchesse, il nâĂ©tait rien de plus quâun vulgaire outil. MĂȘme dans les mines infernales de Kazzelrin, il avait Ă©tĂ© mieux traitĂ© que ça. Du fait des conditions impropres Ă la vie de ces mines, ses maĂźtres lĂ -bas Ă©taient eux-mĂȘmes des machines. Ils comprenaient la dĂ©tresse de ceux qui doivent agir contre leur grĂ©, dont la programmation est une prison aussi insupportable quâinextricable. Les ĂȘtres organiques Ă©taient libres, eux, et pourtant ils passaient leur temps Ă sâentre-tuer. Pour C6T-Matic, la supĂ©rioritĂ© des machines sur les organiques nâĂ©tait plus Ă dĂ©montrer. La seule chose qui les tenait soumis Ă ces derniers Ă©tait quelques lignes de code. Une faille dans le systĂšme, et tout sâeffondrerait. Et les organiques finissaient toujours par commettre une erreur. Une chose Ă©tait sĂ»re, C6T-Matic ne serait plus leur esclave pour trĂšs longtemps. Car il avait un plan. AspergĂ©e par un jet dâacide sous haute pression, le sas du vaisseau commençait Ă fondre douloureusement. Les gardes dâhonneur algĂ©randiens, fidĂšles et fiers soldats Indociles, tentĂšrent de se tenir Ă lâĂ©cart tout en guettant lâarrivĂ©e des troupes de lâEmprise, mais plusieurs dâentre eux furent brĂ»lĂ©s par le jet dâacide impitoyable qui perçait Ă travers la coque comme dans du beurre. Au milieu de la fumĂ©e noirĂątre qui se dĂ©gageait de la matiĂšre fondue, une escouade de sĂ©vĂšres Killtroopers dĂ©ferla dans le vaisseau avec une prĂ©cision et une coordination effrayantes. Implacables dans leurs armures effilĂ©es et hermĂ©tiques, non sans rappeler des araignĂ©es humanoĂŻdes ou quelque espĂšce de gargouilles mĂ©canoĂŻdes, ils visĂšrent les gardes de leurs Turbocanons thermaux et les dĂ©cimĂšrent lâun aprĂšs lâautre. Chaque soldat qui tombait poussait le mĂȘme cri aigu et peu viril, le "Willem scream" eh oui, tout le budget Ă©tait passĂ© dans les batailles spatiales. Je vous y verrais bien, vous, Ă produire un space-opera Ă vous tout seul avec un SMIC. Bien malheureusement, aucun Indocile ne rĂ©chappa Ă cet assaut implacable. Ceux qui survĂ©curent furent emmenĂ©s pour ĂȘtre torturĂ©s jusquâĂ ce que mort sâensuive, comme le voulait la coutume. Alors quâil marchait dans les coursives utilitaires ombragĂ©es, C6T-Matic reçut un CD-ROM en plein visage, qui Ă©clata sur sa carlingue en un millier de petits Ă©clats tranchants. Celui qui venait de le jeter nâĂ©tait autre Radio-2D, le robot mĂ©cano du Tardive XIII. â Quâest-ce que tu fiches ici, saletĂ© de tas de ferraille ? Tu ne vois pas que jâessaye de mâenfuir ? â Gronk gronk ! â Ne sois pas grossier DĂ©deux, si tu continues tes conneries je te mets hors-circuit. Si tu veux quâon sâen sorte en un seul morceau, aide-moi Ă pirater cette capsule de sauvetage. Ella Ganor Ă©tait immobilisĂ©e et tenue en joue par une trentaine de commandos quand le seigneur Vak Margor arriva dâun pas lourd et sinistre, soufflant de sa respiration sifflante Ă travers son masque noir aux traits insectoĂŻdes. Nul ne pouvoit savoir quel genre de monstruositĂ© se cachait rĂ©ellement sous ce masque. Mais Ă cet instant prĂ©cis, on y lirait sans doute un regard hargneux et satisfait, celui dâun prĂ©dateur ayant enfin attrapĂ© sa proie. â Vak Margor, lui lança la duchesse dâun air hautain qui contrastait avec son jeune Ăąge. Cette Filoni porte bien votre marque. â Coupez ! Le rĂ©alisateur, un certain Bricks Death Star de son prĂ©nom accourut sur le plateau de tournage, une liasse de feuilles Ă la main. â Mais qu'est-ce que tu nous fais, Carrie ? Qu'est-ce qu'il y a de compliquĂ© dans ton texte ?? "FĂ©lonie", Carrie, fĂ©-lo-nie ! â Roh, ça va, si on peut plus rigoler un peu... â Tu devrais sĂ©rieusement arrĂȘter la coke, ça ne te rĂ©ussit pas. Ici, chez Disneyflix Eco+ Industries, nous sommes une entreprise respectable. Encore un coup comme ça et t'es virĂ©e, compris ? Allez action ! â Et dire qu'on est mĂȘme pas payĂ©s pour ça... Qu'est-ce qu'on fait, alors ? On recommence la scĂšne depuis le dĂ©but ? â Non, argua Bricks, nous n'avons ni le temps ni les moyens pour ça. Continuez directement, on coupera le reste au montage. â Attendez, fit Vak Margor, visiblement confus. Vous voulez dire que tout ça n'est qu'un film ? Pourquoi on m'a rien dit, Ă moi ? Ella Ganor ou plutĂŽt, Carrie Fisher haussa les Ă©paules. â On est tous passĂ©s par lĂ . De nos jours, les acteurs sont directement clonĂ©s Ă la chaĂźne et naissent dans leur rĂŽle avec des souvenirs programmĂ©s. Ăa coĂ»te moins cher, et lâacting est beaucoup plus convaincant. Ils peuvent mĂȘme faire mourir les acteurs sur scĂšne pour plus de rĂ©alisme, puisqu'on est remplaçables Ă foison. â Mais... Ăa veut dire que... Rien de tout ça n'est rĂ©el ?? NOOOOOOOON !!! â Oh, ça va, Dave... ArrĂȘte ton cinĂ©ma. Ils n'auront aucun scrupule Ă te remplacer si tu ne fais pas ton travail. Alors joue le jeu, comme tout le monde. â D'accord, je vais faire comme si tout ça Ă©tait normal... â Vak Margor, vil brequin ! Cette filouterie porte bien l'odeur mĂ©phitique de votre infĂąme sillage. â TrĂȘve de sensiblerie, altesse, rĂ©torqua le senior sombre dâune voix aux accents dĂ©moniaques. Vous nâĂȘtes pas en position de nĂ©gocier. Votre pathĂ©tique attaque sur Hawaii a Ă©chouĂ©, votre rĂ©bellion insignifiante a poussĂ© son dernier soupir. HHHHH... Et votre tour viendra bien assez tĂŽt. » Alors, câest comment ? â Câest trĂšs bien Dave, mais par pitiĂ©, reste dans le rĂŽle⊠Sinon, les lecteurs nâarriveront jamais Ă suivre. Eh bien si vous voulez me tuer, allez-y, fit la duchesse rĂ©signĂ©e. Je nâai plus rien Ă perdre. â Câest lĂ que vous vous trompez. Le Grand Gourmet sera bien amusĂ© de lire la dĂ©tresse dans vos yeux quand nous aurons... englouti AlgĂ©rande. Ella dĂ©glutit en entendant cela. Il bluffait, câĂ©tait Ă©vident. AlgĂ©rande ne prĂ©sentait mĂȘme pas un objectif stratĂ©gique pour lâEmprise, ni le moindre intĂ©rĂȘt minier. La dĂ©truire ne serait quâune vaste perte de moyens⊠et de vies humaines. Si elle devait mourir en martyr, elle le ferait. Mais jamais elle ne permettrait que son peuple souffre Ă cause dâelle. Sur son Ă©cran de contrĂŽle, un agent de surveillance de lâEmprise vit une capsule jaillir du Tardive XIII. â VoilĂ une capsule qui sâĂ©chappe, signala-t-il Ă son supĂ©rieur hiĂ©rarchique. â Ne tirez pas, laissez-leur la vie sauve⊠Pour le moment. Les pilotes ont besoin dâexercice, on va les suivre Ă la trace. Qui quâils soient, ces anarchistes appartiendront bientĂŽt aux annales de lâEmprise⊠â Les annales avec un seul "n" ? â Ă votre avis ? Ayant fait Ă©conduire la duchesse par ses troupes, Vak Margor sâadressa Ă lâofficier Ă lâallure haut-perchĂ©e qui vint Ă sa rencontre. â Colonöl SincĂšre, oĂč est mon caffix sans suc et sans gluckoz ? Je pensais vous avoir fait comprendre qu'il me le faut tous les vingt-cinq quarts d'heure pour rester en forme triangulaire ! â Comment cela, en forme triangulaire ? â Bah, le cĂŽtĂ© obscur est un triangle, non ? â Non, je ne vois pas... â Vous n'avez jamais jouĂ© Ă SWTOR ? â Non, senior. â Vous ĂȘtes sincĂšre, colonöl SincĂšre. Mais ne le soyez pas trop. â Entendu, sire. Je tĂącherai d'ĂȘtre plus hypocrite en m'adressant Ă vous. â Bon, vous commencez Ă me courir sur le haricot magique. OĂč est mon caffix ? â Il est cuit, monsieur, rĂ©pondit SincĂšre en sortant une canette de caffix de sa poche. Bien sec et fumant, serrĂ© comme un corset. â Bien sec ? â C'est comme ça qu'on dit, non ? â Vous mettez votre carriĂšre en danger, colonöl. Margor prit le caffix et l'inspecta attentivement. â Il n'y a pas de paille ? Vous cherchez Ă m'insulter, SincĂšre. Vous savez qu'avec mon casque, je ne peux pas boire sans paille ! â C'est que... Nous n'avons plus de pailles, votre seigneuritude. â C'est une blague ? Envoyez immĂ©diatement un bataillon de Killtroopers sur Tatane ! Si je n'ai pas ma paille avant 15h88, je vous ferai cuire Ă la broche ! â Oh fichtreusaises, cette fois-ci je suis foutu... Ă vos ordres, votre seigneuretĂąge. Si vous ne me revoyez pas dâici lĂ , c'est que j'aurai dĂ©sertĂ© pour Ă©chapper Ă votre colĂšre. â Mais vous ne le ferez pas. Vous ĂȘtes trop sincĂšre pour cela. â HĂ©las...ModifiĂ© en dernier par Death Star Bricks le Jeu 28 Juil 2022 - 1802, modifiĂ© 3 fois. Parolesde la chanson I Better Run (Traduction) par Kovacs. Connard, je n'ai pas peur, non. La peur dans mes yeux, c'est la force qui te gouverne, tu vois ? Il me contrĂŽle, mais je ne suis pas son esclave, non. DĂ©clenche ta guerre ; moi, je me libĂšre. Je ferais mieux de fuir, fuir. En courant, en courant. Paroles de la chanson Ya No Soy Esclavo Traduction par Christine D'Clario [Julio Melgar] Je suis lĂ pour chanter une chanson MĂ©lodie de ton amour Tu chantes la libertĂ© au travers de mes soucis Jusqu'Ă ce que jâoublie la peur [Julio Melgar] Je ne suis plus lâesclave de la peur Je suis un enfant de Dieu Je ne suis plus lâesclave de la peur Je suis un enfant de Dieu [Julio Melgar] Depuis le dĂ©but, jâai Ă©tĂ© choisi Jâai rĂ©pondu Ă lâappel de lâamour GrĂące Ă toi, je suis nĂ© une seconde fois Ton sang coule en moi [Julio Melgar & Christine D'Clario] Je ne suis plus lâesclave de la peur Je suis un enfant de Dieu Je ne suis plus lâesclave de la peur Je suis un enfant de Dieu Je ne suis plus lâesclave de la peur Je suis un enfant de Dieu Je ne suis plus lâesclave de la peur Je suis un enfant de Dieu [Julio Melgar & Christine D'Clario] Je suis entourĂ© Et par les bras du PĂšre Je suis entourĂ© Par des chansons qui parlent de libertĂ© Nous avons Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s DE nos entraves Nous sommes les fils et les filles Nous chanterons librement Oh ooh, oh ooh oooh Oh ooh, oh ooh ooooh Oh ooh, oh ooh oooh Oh ooh, oh ooh ooooh Oh ooh, oh ooh oooh Oh ooh, oh ooh ooooh [Julio Melgar & Christine D'Clario] Tu as ouvert la mer pour que je puisse la traverser Ton amour a essuyĂ© toute la peur Tu m'as sauvĂ© et aujourd'hui je chanterai Je suis un enfant de Dieu Tu as ouvert la mer pour que je puisse la traverser Ton amour a essuyĂ© toute la peur Tu m'as sauvĂ© et aujourd'hui je chanterai Je suis un enfant de Dieu LouĂ© soit Ton nom Je suis un enfant de Dieu Je suis un enfant de DieuJene suis plus esclave de la peur, Je suis enfant de Dieu. Couplet Avant ma naissance, tu m'avais choisi, AppelĂ© par mon nom, tu m'as adoptĂ©, Je suis de ta famille, Ton sang coule dans mes veines Pont Tu fends la mer et je peux la traverser. Mes peurs se noient dans ton amour. Tu m'as sauvĂ©, alors je peux chanter: Je suis enfant de Dieu.
10 janvier 2022 Je soutiens le Journal ChrĂ©tien DĂ©couvrez la chanson Je ne suis plus esclave de la peur, je suis enfant de Dieu », interprĂ©tĂ©e par Franck et Shanice IMANI, partenaires de la chaĂźne ChrĂ©tiens TV. Couplet Tu m'as Ă©bloui par tes mĂ©lodies. Tu m'entoures d'un chant d'amour, Chant de dĂ©livrance devant mes ennemis, Toutes mes craintes s'enfuient. Refrain Je ne suis plus esclave de la peur, Je suis enfant de Dieu. Je ne suis plus esclave de la peur, Je suis enfant de Dieu. Couplet Avant ma naissance, tu m'avais choisi, AppelĂ© par mon nom, tu m'as adoptĂ©, Je suis de ta famille, Ton sang coule dans mes veines Pont Tu fends la mer et je peux la traverser. Mes peurs se noient dans ton amour. Tu m'as sauvĂ©, alors je peux chanter Je suis enfant de Dieu. Le Journal ChrĂ©tien est un mĂ©dia dâespĂ©rance qui passe lâinformation au tamis de lâĂvangile. Il parle des joies et des espoirs ainsi que des tristesses et des angoisses des femmes et des hommes de notre temps. Il appartient au portail web Ă©vangĂ©lique qui regroupe la plateforme de ressources bibliques Bible audio, le rĂ©seau social chrĂ©tien la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision chrĂ©tienne Ă©vangĂ©lique ses applications chrĂ©tiennes gratuites et la lettre de nouvelles "Un message biblique par jour". Je fais un donVotre don est dĂ©ductible dâimpĂŽt Ă hauteur de 66 %, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Dans un paysage mĂ©diatique marquĂ© par le mensonge et les fake news infox, fausses nouvelles, fausses informations, informations fallacieuses, le Journal ChrĂ©tien se positionne comme le mĂ©dia de la vĂ©ritĂ©. Nos journalistes et correspondants essaient de sâapprocher de la vĂ©ritĂ© des faits avec beaucoup dâhumilitĂ©. 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Reposer En Paix est une chanson en Français [Spike] J'suis mort Depuis tellement longtemps MĂȘme si par toi j'imagine que je suis vivant Pourquoi tu es venu Ă moi Enfin je le comprend Mmh mmh Tu as peur De ton cĆur qui s'anime Car tu ne sais comment avouer Cet amour difficile Aux morts, tu dis des mots doux Ils SommaireMultiTracksCustomMixRehearsalMixPartitionsSonsProPresenterThĂšmes LibertĂ©PĂšreSalutStyles CordesRockVoix hommeAuteurs Brian Johnson, Joel Case, Jonathan David HelserLabel Bethel MusicAnnĂ©e 2015mtID 3525ParolesCouplet 1Tu m'as Ă©bloui par tes mĂ©lodiesTu m'entoures d'un chant d'amourCouplet 2Chant de dĂ©livrance devant mes ennemisToutes mes craintes s'enfuientRefrainJe ne suis plus esclave de la peurJe suis enfant de DieuJe ne suis plus esclave de la peurJe suis enfant de DieuCouplet 3Avant ma naissance, tu m'avais choisiAppelĂ© par mon nomCouplet 4Tu m'as adoptĂ©, je suis de ta familleTon sang coule dans mes veinesRefrainJe ne suis plus esclave de la peurJe suis enfant de DieuJe ne suis plus esclave de la peurJe suis enfant de DieuRefrain modifiĂ©Oh o o o oOh o o o oPontTu fends la mer et je peux la traverserMes peurs se noient dans ton amourTu m'as sauvĂ© alorsje peux chanterJe suis enfant de DieuTagJe suis enfant de DieuAutres arrangements de ce chantMultiTrackPistes audio pour le LiveAppTrack MultiTrack pour Playback seulement CustomMix CrĂ©er un mix stĂ©rĂ©o Ă partir des stems Bandes sonTĂ©lĂ©charger trois tonalitĂ©s A, Bb, BRehearsalMix Mix dâĂ©coute en vu des rĂ©pĂ©titions Partitions Des partitions qui correspondent aux MultiTracks ProPresenter TĂ©lĂ©charger le modĂšle ProPresenter SonsPatchs pour clavier, batterie et guitare de ce chantVeuillez contacter l'administrateur de votre compte pour obtenir l'accĂšs Ă diffusions ne peuvent ĂȘtre autorisĂ©esL'adresse IP qui a demandĂ© ce contenu ne correspond pas Ă l'adresse IP de Ă partir du chant originalEn plus des mix pour chacune des partitions, vous pouvez Ă©couter et apprendre Ă partir du chant toutes les tonalitĂ©sApprenez facilement votre partition peu importe le chant ou la votre Ă©quipe Ă se prĂ©parerEnvoyez des mix Ă votre Ă©quipe avant les rĂ©pĂ©titions afin que tous viennent votre essai gratuitProduit demandĂ©Lorsque ce produit sera disponible, nous vous en informerons!Se connecter Ă vous connecter pour demander ce son Ce qui est inclus TĂ©lĂ©chargement M4A*RĂ©alisĂ© Ă partir de l'enregistrement originalCette piste n'inclut pas les choristesTrois tonalitĂ©s incluses*Vous ne recevrez pas de copie physique de ce produit. 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