Granddéballage de maquettes, jeudi 17 février, au centre de loisirs de Frontignan-plage. Pas d'avions, ni de bateaux en plastique mais bien plutÎt des maquettes de quartiers de la ville dans
- Le gabarit du gùteau Dessiner sur des feuilles les chiffres et les lettres, découper avec des ciseaux - Le gùteau Dans un saladier mélanger 140g de beurre fondu, 75g de sucre glace, 1 pincée de sel, 50g de poudre de noisette, 1 oeuf, 250g de farine Former une boule Poser une feuille de papier cuisson sur le plan de travail, poser la boule de pùte par dessus, poser une feuille de papier cuisson par dessus, passer le rouleau à pùtisserie pour faire une pùte fine pas trop fine non plus Poser les feuilles gabarits sur la pùte, couper le contour à l'aide d'un couteau, poser sur la plaque du four directement sur la feuille de cuisson pour ne pas le casser en le déplaçant Cuire au four à 180° quelques minutes bien surveiller car c'est trÚs rapide - La crÚme Fouetter 600g de mascarpone avec 120g de sucre glace - Le montage du gùteau Une fois les chiffres et lettres du gùteau cuits, napper avec la crÚme en utilisant une seringue à pùtisserie Décorer avec des meringues, chamallow, smarties, chocobons, m&m's, vermicelles, fleurs en sucre Conserver au frigo, sortir 10 minutes avant de manger Voir les commentaires
\n\n \n\ncomment faire une maquette de la ville de demain
HABITERDEMAIN RÉ-INVENTONS NOS LIEUX DE VIE Cet « itinĂ©raire de visite » constitue une aide Ă  la dĂ©couverte de l’exposition HABITER DEMAIN, RÉ-INVENTONS NOS LIEUX DE VIE (du 4 dĂ©cembre 2012 au 10 novembre 2013). Le questionnaire porte sur une sĂ©lection d’élĂ©ments et comporte peu de questions. Le « parcours » proposĂ©
Un atelier. 100 mĂštres carrĂ©s couverts de fraiseuses, dĂ©fonceuses Ă  bois, imprimantes 3D, dĂ©coupes vinyles
 Et autour une armada de bricoleurs amateurs ou professionnels qui s’affairent sur les objets de demain. Bienvenue dans un Fab Lab ! Le Fab Lab est un concept qui a Ă©tĂ© dĂ©fini en 2004 par Neil Gershenfeld. Ce professeur au MIT Massachusetts Institute of Technology s’était rendu compte que ses Ă©tudiants venaient utiliser le soir les machines dont ils se servaient pendant les cours, afin de mener Ă  bien des projets personnels. L’idĂ©e lui est alors venue d’ouvrir des laboratoires destinĂ©s au grand public », explique Fabien Eychenne, chef de projet Ă  la FING Fondation Internet Nouvelle GĂ©nĂ©ration. Le concept fait alors des Ă©mules et s’exporte dans le monde entier NorvĂšge, Kenya, Ghana
 et la France. L’idĂ©e est celle d’un atelier ouvert Ă  tous dans lequel on retrouve des machines Ă  commandes numĂ©riques, qui permettent de prototyper tout et n’importe quoi ». Le MIT dĂ©veloppe alors une charte permettant l’ouverture partout dans le monde de Fab Lab en adhĂ©rant Ă  ses valeurs, les Fab Lab s’engagent Ă  respecter l’idĂ©e de partage des savoirs, de machines en libre-service et surtout de rĂ©seau entre les Fab Lab afin de partager les expĂ©riences et avancĂ©es de chacun. L’idĂ©e est qu’un objet produit Ă  Boston grĂące Ă  un Fab Lab pourra ĂȘtre rĂ©pliquĂ© Ă  Paris ou Amsterdam grĂące aux Ă©changes de donnĂ©es entre les deux structures », prĂ©cise Fabien loisir au prototype industrielLe concept s’implante peu Ă  peu en France, avec de plus en plus de projets qui voient le jour, comme Artilect, Ă  Toulouse. J’ai créé l’association Artilect il y a 2 ans et demi et nous sommes devenus un Fab Lab il y a 1 an avec la labellisation MIT », raconte Nicolas Lassabe, directeur du Fab Lab. A Toulouse il n’y avait pas de lieu pour fabriquer des objets et rencontrer des gens aux compĂ©tences diverses ». Alors l’étudiant en informatique dĂ©cide avec un ami de crĂ©er ce lieu. Nous nous sommes peu Ă  peu dĂ©veloppĂ©s, et nous sommes fait rĂ©pertorier dans le rĂ©seau des Fab Lab MIT ». DĂ©sormais Artilect rĂ©unit Ă©tudiants, architectes, designers, Ă©lectroniciens, artistes, qui souhaitent utiliser ces machines en libre-service afin de tester leurs idĂ©es. Nous voyons Ă©galement des particuliers qui viennent pour des projets personnels ou leur loisir ainsi que des sociĂ©tĂ©s qui veulent rĂ©aliser un prototype fonctionnel pour ensuite pouvoir dĂ©marrer une activitĂ© », dĂ©crypte Nicolas Lassabe. Fabien Eychenne souligne par ailleurs que les profils des Fab Labeurs » dĂ©pendent beaucoup des lieux chaque Fab Lab a pris une couleur en fonction du Fab manager qui porte la structure », explique-t-il. Ainsi l’atelier collaboratif de Barcelone est plus tournĂ© vers l’architecture, celui de Manchester vers les entreprises, PME et PMI pour l’aide Ă  l’innovation, ou encore les Fab Lab amĂ©ricains souvent axĂ©s vers les Ă©tudiants car gĂ©nĂ©ralement portĂ©s par des facultĂ©s et universitĂ©s. Dans tous ces lieux, les utilisateurs peuvent aussi bien venir pour des petites rĂ©alisations, comme le bricoleur qui vient se crĂ©er un meuble adaptĂ© Ă  ses besoins, qu’un projet d’envergure. A Barcelone, une maison entiĂšre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e dans un Fab Lab ! », note fabien Eychenne.Artilect/Fab Lab ToulouseUn tremplin pour les crĂ©ateurs d’entreprisePour GaĂ«tan Severac, ingĂ©nieur, Artilect a Ă©tĂ© l’occasion de rĂ©aliser son projet professionnel. Avec mes associĂ©s, nous avions l’idĂ©e de dĂ©velopper de nouveaux outils pour l’agriculture raisonnĂ©e, dans le cadre d’AMAP. Nous voulions rĂ©duire le coĂ»t et la taille des outils pour le dĂ©sherbage », explique-t-il. Nous nous sommes alors tournĂ©s vers Artilect pour trouver l’expertise dont nous manquions et crĂ©er une premiĂšre maquette ». GaĂ«tan Severac dĂ©veloppe une premiĂšre maquette puis une seconde, Ă  partir de matĂ©riaux de rĂ©cupĂ©ration majoritairement. Cela nous a permis de dĂ©grossir le projet Ă  moindre frais et d’asseoir la faisabilitĂ© du projet, en effectuant les premiers tests et en bĂ©nĂ©ficiant de conseils prĂ©cieux d’experts sur place ». Pour l’ingĂ©nieur, le Fab Lab a avant tout Ă©tĂ© l’outil indispensable pour conforter son projet trĂšs en amont de la crĂ©ation de son business model Ă  consoliderQuant au financement des Fab Lab, chaque lieu cherche son Ă©quilibre en fonction de ses spĂ©cialisations. Il y a un vrai questionnement sur le modĂšle Ă©conomique Ă  appliquer, rappelle Fabien Eychenne. Comment garder ce lieu gratuit et assurer sa pĂ©rennitĂ© ? ». Trois solutions sont appliquĂ©es pour le moment. D’abord la formation et l’accompagnement de projets. Ensuite, l’appel Ă  des subventions publiques. Nous avons touchĂ© environ 8000 euros de subventions de la mairie et pouvons embaucher notre premier salariĂ© grĂące au fonds europĂ©en », confirme Nicolas Lassabe, d’Artilect. Autre alternative observĂ©e avec attention par les Fab Labeurs faire appel Ă  des financements privĂ©s, en se rapprochant d’entreprises partenaires. Nous avons Ă©tĂ© contactĂ©s par des groupes industriels sĂ©duits par l’approche, confie Nicolas Lassabe. Ils sont particuliĂšrement intĂ©ressĂ©s par la rapiditĂ© des rĂ©alisations, le regroupement sur un mĂȘme lieu de compĂ©tences et univers divers et d’étudiants pluridisciplinaires ». Reste dĂ©sormais Ă  trouver la bonne forme de collaboration. Nous y allons progressivement ». L’idĂ©e Ă©tant pour les entreprises de trouver dans ces Fab Lab de vĂ©ritables laboratoires de tendances, leur permettant de dĂ©crypter les objets et dĂ©nicher les talents de demain. Ainsi l’entreprise Ford Ă  DĂ©troit aux Etats-Unis a cofinancĂ© l'ouverture d’un tech shop », une forme de Fab Lab plus dĂ©veloppĂ©e. Ils crĂ©ent ainsi un territoire d’expĂ©rimentation pour les crĂ©ateurs. Ces derniers peuvent ne pas avoir l’envie ou les moyens de dĂ©velopper leurs idĂ©es au-delĂ  du stade du prototype. C'est alors que Ford peut prendre le relais », explique Fabien Eychenne. Et de continuer les enjeux sont nombreux et formidables, le premier d’entre eux Ă©tant que les Fab Lab abaissent les barriĂšres Ă  l’innovation ».Artilect/Fab Lab Toulouse DĂ©coupe LaserLe site d'Artilect Fab Lab Toulouse
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Lurbanisme de la ville s’articule autour de 3 axes linĂ©aires d’est en ouest permettant ainsi un maillage urbain dont l’essor et la dynamique se fera petit Ă  petit en expĂ©rimentant, par exemple, un POS qui sera le 1er Ă  ĂȘtre mis en Ɠuvre en Chine. Une politique en parallĂšle d’implantation d’espace verts sous la forme d’avenues fortement paysagĂ©es, de parcs dont l PHOTO VANDERLEI ALMEIDA, AFP Ce musĂ©e scientifique fait partie d'un ensemble de grands travaux entrepris par la mairie pour moderniser la ville en vue des Jeux Olympiques de 2016. Le MusĂ©e de Demain», de l'architecte espagnol Santiago Calatrava, a Ă©tĂ© inaugurĂ© par la prĂ©sidente Dilma Rousseff jeudi Ă  Rio oĂč il s'Ă©rige en symbole de la rĂ©novation de la zone portuaire en vue des jeux Olympiques-2016. La construction de ce musĂ©e scientifique, qui a durĂ© trois ans, fait partie d'un ensemble de grands travaux entrepris par la mairie pour moderniser la ville Ă  l'occasion du Mondial de football de 2014 et des Jeux Olympiques de 2016. Son coĂ»t s'est Ă©levĂ© Ă  215 millions de rĂ©ais 56 millions de dollars au change actuel. Aujourd'hui nous inaugurons un patrimoine de l'humanitĂ© ... car d'ici peu le MusĂ©e de Demain sera un patrimoine de l'humanitĂ© et transformera toute cette rĂ©gion en un grand site pour exprimer l'histoire de note pays» a dĂ©clarĂ© Dilma Rousseff au cĂŽtĂ© du gouverneur et du maire de Rio. Construit sur une jetĂ©e de la place Maua oĂč arrivent tous les paquebots touristiques en bordure de la baie, et oĂč dĂ©barquaient les esclaves aux 16,17,18 et 19e siĂšcle, le musĂ©e avec ses lignes abstraites rappelle tour Ă  tour une lance, un insecte Ă  la carapace mĂ©tallique ou mĂȘme le squelette d'un dinosaure. Mais ce sont les bromĂ©lias exotiques du jardin Botanique de Rio qui ont servi d'inspiration Ă  l'architecte espagnol. Le musĂ©e ouvrira ses portes au public samedi matin et l'entrĂ©e sera gratuite jusqu'Ă  dimanche soir. Bas 18 m de haut et long, en acier poli et ciment blanc, il a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© au milieu d'une grande zone verte de 30 000 m2 avec des jardins, des bassins, une piste cyclable et une aire de loisirs. Le bĂątiment, de conception Ă©cologique, fait 15 000 m2 et l'eau de la baie sera utilisĂ©e pour la climatisation de l'intĂ©rieur du musĂ©e. Sur son toit, de grandes structures en acier, qui bougent comme des ailes, serviront Ă  capter l'Ă©nergie solaire grĂące Ă  5492 panneaux photovoltaĂŻques divisĂ©s en 24 modules. Le musĂ©e n'est pas seulement un objet, il est la ville. Le paysage a Ă©tĂ© un Ă©lĂ©ment fondamental. Il fallait que l'on voie le monastĂšre de Sao Bento du 17e siĂšcle, il fallait que le bĂątiment soit horizontal», avait dĂ©clarĂ© M. Calatrava lors de la prĂ©sentation de la maquette Ă  la presse en mai 2012. Ce nouveau musĂ©e est une invitation Ă  un voyage peu conventionnel il part de la crĂ©ation de l'Univers et va vers l'avenir de l'HumanitĂ©. Moderne et innovateur, il est le premier Ă  traiter des possibilitĂ©s de construction de l'avenir et conduira le public Ă  rĂ©flĂ©chir sur l'impact de ses actions sur la planĂšte, avait expliquĂ© lors de la prĂ©sentation de la maquette le physicien Luiz Alberto de Oliveira, responsable du contenu du musĂ©e. Avec des partenaires comme le musĂ©e de la Villette Ă  Paris et les amĂ©ricains Smithsonian Institute et California Academy of Sciences, il servira aussi d'outil Ă©ducatif sur les actions humaines d'aujourd'hui qui construiront le monde de demain. Il doit faire rĂ©flĂ©chir Ă  comment vivrons-nous en 2050 quand nous serons 9 milliards?», avait ajoutĂ© M. Oliveira. À l'intĂ©rieur du musĂ©e se trouvent des zones interactives, une salle de cinĂ©ma 360 degrĂ©s et un Tjuringa», seul objet exposĂ© pour l'instant, pierre sacrĂ©e issue des anciennes civilisations aborigĂšnes d'Australie. Avec sa salle d'exposition de 600 m2 et son restaurant de cent places avec vue panoramique, le Museu do Amanha» promet de devenir une Ă©tape obligatoire du circuit culturel de la ville. Visitedu terrain de Morne DĂ©gras que la ville a mis Ă  disposition du Centre Hospitalier du Saint-Esprit pour la construction du nouvel hĂŽpital. La CTM participera au financement de l'hĂŽpital et Visite de la Ferme de Bontemps Lacour. La ville a sollicitĂ© la CTM, pour une mise Ă  disposition ce site, afin de crĂ©er un chantier
Les villes de demain doivent ĂȘtre des villes durables, intelligentes et capables de faire face aux risques technologiques et naturels. Pour cela, elles doivent rĂ©pondre aux besoins de leurs habitants en organisant l'approvisionnement en eau, en nourriture et en Ă©nergie, en dĂ©veloppant des transports propres et efficaces, et en permettant d'amĂ©liorer le vivre-ensemble. Cependant, les projets des villes de demain comportent aussi des limites ils peuvent ĂȘtre pensĂ©s sans l'avis des populations concernĂ©es, n'ĂȘtre accessibles que par une minoritĂ© et avoir pour consĂ©quence une surveillance accrue des citoyens. ILes objectifs des villes de demain ADĂ©finir les villes de demain Une ville du futur doit ĂȘtre une ville durable, c'est-Ă -dire une ville qui prend en compte les besoins sociaux, Ă©conomiques et environnementaux des habitants. L'ONG Organisation non gouvernementale WWF propose des critĂšres permettant de dĂ©finir ce que doit ĂȘtre une ville durable ne pas Ă©mettre de carbone ; proposer des transports collectifs et non polluants ; produire une Ă©nergie renouvelable ; construire un habitat constituĂ© de matĂ©riaux locaux et rĂ©cupĂ©rateur d'Ă©nergie ; avoir une alimentation locale ; gĂ©rer l'eau durablement ; recycler tous les dĂ©chets ; Ă©laborer les projets avec la participation des habitants. Dans cette dĂ©finition, l'accent est surtout mis sur l'aspect environnemental, mĂȘme si la concertation des habitants est Ă©voquĂ©e. Or, pour que les villes de demain soient rĂ©ellement durables, elles doivent prendre aussi en compte les dimensions sociale et Ă©conomique, c'est-Ă -dire offrir des emplois Ă  tous, rĂ©duire les sĂ©grĂ©gations socio-spatiales et associer les habitants Ă  ces ces objectifs peuvent ĂȘtre mis en place dans des Ă©coquartiers. BLa smart city L'expression smart city » signifie ville intelligente ». En effet, pour rĂ©pondre aux diffĂ©rents objectifs des villes du futur, elles doivent ĂȘtre des villes connectĂ©es et recueillir de nombreuses donnĂ©es avec des capteurs, des camĂ©ras, etc. sur les transports, la pollution, la tempĂ©rature, etc. Une fois traitĂ©es et analysĂ©es, ces donnĂ©es doivent permettre aux dĂ©cideurs publics, aux entreprises et aux particuliers d'agir en consĂ©quence des informations reçues. Cette collecte et cette redistribution de donnĂ©es doivent ainsi permettre d'optimiser les ressources de la ville connectĂ©e peut dĂ©cider de faire varier la lumiĂšre des bĂątiments publics en fonction de la luminositĂ©, indiquer aux habitants les zones les plus polluĂ©es de la ville, dĂ©tecter rapidement une fuite d'eau sur le rĂ©seau de distribution, etc. CS'adapter aux risques Les villes doivent dĂ©velopper des moyens de protection pour faire face aux risques. En effet, qu'ils soient technologiques ou naturels, les risques augmentent et touchent de plus en plus les urbains, notamment dans les villes proches des littoraux. Les amĂ©nagements des villes doivent donc prendre en compte ces risques et proposer des solutions pour diminuer les consĂ©quences en cas de plus en plus confrontĂ©e aux risques climatiques, la ville de New York a installĂ© sur les bouches de mĂ©tro des bĂąches permettant de bloquer l'entrĂ©e d'eau en cas d'inondation de la ville. IIRĂ©pondre aux besoins des habitants des villes de demain AApprovisionner la ville La ville de demain doit amĂ©liorer son approvisionnement en Ă©nergie qui constitue l'un des principaux dĂ©fis des espaces urbains. Des alternatives aux sources d'Ă©nergie fossile existent, comme par exemple l'Ă©nergie solaire produite par des panneaux Abu Dhabi, la ville nouvelle de Masdar, dont la construction a dĂ©butĂ© en 2008, sera Ă©quipĂ©e de panneaux photovoltaĂŻques et d'Ă©oliennes pour capter les vents nocturnes du dĂ©sert. Des hauts murs encercleront la ville, composĂ©e de ruelles Ă©troites afin de limiter les fortes chaleurs et donc la consommation de la villes de demain devront aussi organiser diffĂ©remment leur production de nourriture. Elles devront produire un maximum Ă  l'intĂ©rieur mĂȘme de la ville grĂące au dĂ©veloppement de l'agriculture urbaine ou se fournir Ă  proximitĂ© des villes, afin de rĂ©duire le trajet des produits alimentaires. De mĂȘme, une attention particuliĂšre doit ĂȘtre portĂ©e Ă  la qualitĂ© des produits consommĂ©s. Agriculture urbaine L'agriculture urbaine est une agriculture dĂ©veloppĂ©e dans les zones urbaines. Agriculture urbaine Ă  Chicago © New croops Linda, Wikimedia Commons BRepenser les transports Les villes de demain doivent repenser les transports dans le but de mieux rĂ©pondre aux besoins des habitants et de limiter la pollution. Il faut donc privilĂ©gier des transports collectifs qui ne produisent pas de \ce{CO2}. Il peut cependant exister des alternatives au tout collectif » avec les voitures Ă©lectriques ou les vĂ©hicules personnels circulant sur un rĂ©seau amĂ©nagĂ©. Un PRA Personal rapid transit, vĂ©hicule individuel circulant sur les routes amĂ©nagĂ©es pour sa circulation © Skybum, Wikimedia CommonsMais l'amĂ©lioration des transports ne nĂ©cessite pas forcĂ©ment la crĂ©ation de nouveaux rĂ©seaux, les rĂ©seaux actuels peuvent ĂȘtre amĂ©liorĂ©s et Ă©tendus. CAmĂ©liorer le vivre-ensemble Les villes actuelles sont confrontĂ©es Ă  de nombreuses inĂ©galitĂ©s socio-spatiales les populations les plus pauvres sont sĂ©parĂ©es des populations les plus aisĂ©es et habitent dans les zones avec moins de services. Les villes de demain doivent affronter ce problĂšme en favorisant la mixitĂ© sociale, par l'accueil de diffĂ©rentes catĂ©gories sociales au sein des mĂȘmes le quartier rĂ©cent de Clichy-Batignolles Ă  Paris, la moitiĂ© des logements sont des logements sociaux auxquels s'ajoutent 20 % de logements privĂ©s Ă  loyers maĂźtrisĂ©s. Les 30 % restants sont libres. Cette diversitĂ© permet d'accueillir tous types de catĂ©gories sociales. Le quartier de Clichy-Batignolles © David Fleg, Wikimedia Commons Les services doivent aussi se diversifier et rĂ©pondre aux besoins de tous les habitants et prendre en compte les Ă©volutions dĂ©mographiques Anticiper le vieillissement de la population en adaptant les villes aux personnes ĂągĂ©es. RĂ©pondre aux besoins divers et variĂ©s de la population, en fournissant par exemple de nombreuses places en crĂšche. Offrir un cadre de vie agrĂ©able en amĂ©nageant des espaces verts. À SĂ©oul, 6 kilomĂštres de promenade ont Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©s et ont remplacĂ© une autoroute en plein centre-ville par un jardin. La promenade du centre-ville de SĂ©oul IIILes limites des villes de demain ADes projets dĂ©connectĂ©s des citoyens Souvent, les projets ne correspondent pas aux attentes des citoyens qui n'ont pas Ă©tĂ© concertĂ©s dans l'Ă©laboration du projet. En effet, trop souvent, les projets de villes durables sont conçus dans des cabinets d'architectes et d'urbanistes et ne rĂ©pondent pas aux attentes des habitants. Cela peut avoir des consĂ©quences nĂ©gatives Le quartier nouvellement construit n'attire pas les habitants et les entreprises car il est inadaptĂ©. Les habitants et les entreprises s'installent, mais la zone nouvellement construite manque d'une rĂ©elle vie de quartier et les habitants s'en Ă©chappent dĂšs qu'ils souhaitent pratiquer des loisirs promenades, restaurants, shopping, sport, etc.. BDes projets sĂ©lectifs Les projets de villes de demain peuvent aussi n'ĂȘtre rĂ©servĂ©s qu'aux catĂ©gories les plus aisĂ©es. En effet, le prix de certains projets a pour consĂ©quence de ne les rendre accessibles qu'aux plus fortunĂ©s. L'aspect social est alors totalement absent et on assiste Ă  la crĂ©ation de nouvelles gated plus, ces projets sont encore trop peu nombreux et ne touchent qu'une infime minoritĂ© de la population urbaine. Le projet de Masdar City Ă  Abu Dhabi, compte tenu de son Ă©norme coĂ»t financier, ne sera rĂ©servĂ© qu'Ă  une Ă©lite aisĂ©e. CLa surveillance des citoyens De nombreuses critiques sont Ă©mises Ă  l'encontre des villes du futur et plus particuliĂšrement Ă  propos de la notion de smart city. En effet, les responsables de la collecte des donnĂ©es urbaines disposeront d'une multitude d'informations sur les habitants des mĂ©tropoles tels que leurs dĂ©placements, leurs achats, leurs habitudes, etc. Ces donnĂ©es collectĂ©es ne doivent servir qu'au fonctionnement efficace de la ville et ne doivent pas ĂȘtre mises Ă  profit pour exercer un contrĂŽle des citoyens ou pour dĂ©finir, Ă  leur insu, des stratĂ©gies mĂȘme, ces nombreuses informations peuvent ĂȘtre dĂ©tournĂ©es par des pirates informatiques et Ă©chapper Ă  tout contrĂŽle.
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des conceptions innovantes face aux enjeux La ville du futur fait rĂȘver. D’ici Ă  une trentaine d’annĂ©es, comment vivrons-nous ? Les espaces urbains auront-ils rĂ©ussi Ă  muter pour atteindre une alchimie parfaite avec l’environnement, les villes seront-elles plus rĂ©silientes ? Les politiques urbaines intĂšgreront-elles des dimensions sociale et environnementale en constante Ă©volution ? Autant de questions dont la rĂ©ponse nous parviendra certainement avec le temps, mais auxquelles nous pouvons nous essayer Ă  rĂ©pondre dĂšs maintenant. Nombreux sont les architectes et les urbanistes imaginant d’ailleurs dĂ©jĂ  la ville du futur 2050. Quelques architectes visionnaires sur la ville du futur 2050 Vincent Callebaut En matiĂšre de ville du futur, l’architecte Vincent Callebaut tire constamment son Ă©pingle du jeu, notamment du fait de la multiplicitĂ© de ses projets d’envergure. Une exposition “Villes 2050” a mĂȘme Ă©tĂ© tenue en 2018 au parc du Futuroscope pour prĂ©senter 19 des projets dudit architecte sur 50 dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ©s ou en cours, environ. Parmi les projets architecturaux de Vincent Callebaut La Tao Zhu Yin Yuan, une tour Ă  usage d’habitation principalement et occupant environ 50 000 mĂštres carrĂ©s. Sa structure bioclimatique et sa consommation 2 fois moins Ă©levĂ©e que les autres projets de ce type reprĂ©sentent ses particularitĂ©s, une bonne idĂ©e de ce Ă  quoi pourraient ressembler les nouvelles constructions dans la ville du futur 2050. The Gate, au Caire. Ici, 1 000 appartements, commerces et bureaux sur plus de 450 000 mÂČ de superficie ainsi que de multiples panneaux solaires et une facture Ă©nergĂ©tique diminuĂ©e de 40 % par rapport Ă  ses homologues. La Rainbow Tree ou “arbre arc-en-ciel » aux Philippines. Sur 32 Ă©tages, cette tour modulaire en bois massif est composĂ©e de plus de 30 000 plantes, un vĂ©ritable puits de carbone pour un bĂątiment Ă  empreinte environnementale positive. Paris en 2050, par Vincent Callebaut A l’image des autres projets de Vincent Callebaut, le projet Paris Smart City 2050 se veut une version plus intelligente et plus verte de la capitale, notamment par la conception de 8 prototypes de tours Ă©conomes en Ă©nergie et bioclimatiques. On parle bien Ă©videmment de tours dĂ©polluantes et solaires permettant de lutter durablement contre le phĂ©nomĂšne d’ilots de chaleur star propose la crĂ©ation de corridors Ă©cologiques, de façades Ă  base d’algues vertes pour permettre de capter le CO2 de l’air ambiant et de le stocker, de parcs verticaux, de tours maraĂźchĂšres et de balcons potagers, de ponts paysages alimentĂ©s par des Ă©oliennes et des hydroliennes
 Est prĂ©vue avec ce projet une rĂ©duction de 75 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre de la capitale. Un Paris 2050 qui fait indĂ©niablement rĂȘver, tant par son caractĂšre architectural que par son potentiel bioclimatique. Norman Foster Cet architecte de renom se distingue notamment par ses conceptions Ă©tonnantes associant Ă  la perfection innovation et dimension Ă©cologique. Il est considĂ©rĂ© comme certains comme un prĂ©curseur en matiĂšre d’architecture high-tech et a d’ailleurs reçu pour ses projets plus de 300 prix et rĂ©compenses. Pour lui comme pour les autres architectes urbanistes, la ville de demain se pense aujourd’hui, avec notamment Apple Park Cupertino, siĂšge social de la cĂ©lĂšbre marque, L’HĂŽtel de ville de Londres, Hearst tower New-York, premier building Ă©cologique, partant de l’extension d’un bĂątiment historique existant. Soulignons qu’une grande partie de ce bĂątiment provient de sources recyclables. Des modĂšles durables dĂ©jĂ  implantĂ©s dans nos villes Des airs de 2050 se perçoivent dĂ©jĂ  aujourd’hui, dans quelques villes un peu partout dans le monde. Europe du Nord, Asie
 En CorĂ©e du Sud dans la ville durable de Songdo, on compte dĂ©jĂ  40 % d’espaces verts et quasiment aucune voiture. Hong-Kong compte quant Ă  elle de plus en plus d’ilots urbains autosuffisants en Ă©nergie et l’agriculture urbaine y tient Ă©galement une place travers le monde, les rĂ©seaux de transports en commun s’étoffent et Ă©voluent vers une Ă©nergie verte. Des systĂšmes de gestion des dĂ©chets souterrains performants apparaissent. Et que dire des innovations constatĂ©es en matiĂšre d’habitat Ă©cologique et d’intelligence urbaine ? Tout cela fera sans conteste partie de la ville du futur. Pour 2050, il s’agira de faire Ă©voluer les modĂšles durables d’écoquartiers Ă  l’échelle de la ville, pour crĂ©er un Ă©cosystĂšme urbain global autosuffisant. La vie en 2050 En France et Ă  l'Ă©tranger, des objectifs clairs Penser la ville du futur 2050 ne rĂ©pond pas tant Ă  un besoin sociĂ©tal ou architectural mais plutĂŽt bel et bien Ă  un enjeu climatique fort. La crise environnementale actuelle nous amĂšne tous Ă  repenser nos modes de consommation mais Ă©galement la façon dont nous nous dĂ©plaçons et dont interagissons au sein des espaces urbains. Ceux-ci doivent donc se rĂ©inventer. D’ores et dĂ©jĂ , les multiples sommets Ă  vocation environnementale ont fait Ă©merger des objectifs clairs pour 2050 et notamment, celui de la neutralitĂ© carbone pour la France. Quelques enjeux de la ville du futur 2050 L’un des enjeux principaux des villes actuelles et futures sera de refroidir les espaces urbains pour une meilleure qualitĂ© environnementale notamment. Il s’agit de remplacer les Ăźlots de chaleur par des ilots de verdure, une verdure qui s’invite en ville Ă©galement pour des raisons liĂ©es Ă  la crise environnementale actuelle et qui n’a pas seulement vocation Ă  la dĂ©polluer mais aussi Ă  permettre Ă  la ville de cultiver des denrĂ©es. Les fermes verticales sont d’ailleurs communes Ă  tous les projets urbains futuristes pour mobilitĂ© verte permettra Ă©galement de refroidir les villes du futur en Ă©vitant de rejeter des gaz Ă  effet de serre dans l’atmosphĂšre. En France, le secteur des transports est responsable de 31 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre du quant Ă  lui, se voudra bioclimatique et connectĂ© pour des dĂ©penses Ă©nergĂ©tiques minimes voire nulles.
Travailcollaboratif sur la ville de demain. ValĂ©rie Manac'h | 13 Nov 2016 | II. La ville de demain. | 0 |. Coruscant, Star wars. ThĂšme 1 – Habiter une mĂ©tropole : La ville de demain. Les Ă©lĂšves sont invitĂ©s, dans le cadre d’une initiation Ă  la prospective territoriale, Ă  imaginer la ville du futur : comment s’y dĂ©placer ?
ActivitĂ© de l'entreprise 1001rues propose de gĂ©nĂ©rer la conception des villes de demain par la parole des usagers. Pour concrĂ©tiser cette vision 1001rues conçoit des outils numĂ©riques de concertation citoyenne orientĂ©s projet. Les donnĂ©es rĂ©coltĂ©es par nos outils, une fois traitĂ©es, vont se matĂ©rialiser dans le design du projet. Offrant, aux dĂ©cideurs et concepteurs, diffĂ©rents scĂ©narios de conception des espaces issus de la parole de l’usager. La dĂ©marche de 1001rues ne s’oppose pas Ă  une concertation sur le terrain, plus classique; elle cherche Ă  la complĂ©ter et Ă  gommer ses lacunes. Notamment, le manque de participation des usagers ou futurs usagers, la monopolisation de la parole par un individu ou groupe d’individu ou encore la difficultĂ© Ă  faire remonter des donnĂ©es concrĂštes et utiles au projet. RĂ©fĂ©rences de l'entreprise Localisation Seine-et-Marne CatĂ©gorie DĂ©mocratie locale et relation avec les citoyens Structure du client EPAMARNE BIM citoyen Le BIM Citoyen est un outil de concertation numĂ©rique en ligne qui permet aux utilisateurs d'agir sur diffĂ©rents scĂ©narios proposĂ©s par les Ă©quipes de concepteur. A l’instar d’un serious game, l’internaute peut dĂ©couvrir le quartier au travers d’une maquette en 3D et s’immerger dedans. Il peut ainsi modifier diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de la ville tels que les voiries, les espaces verts, la hauteur des bĂątiments
 mais comme dans un serious game, tous ces changements sont soumis Ă  des contraintes budgĂ©taires et aux rĂ©glementations environnementales et urbanistiques. Ainsi, le “joueur” peut voir au cours de sa construction, les impacts carbone, Ă©conomiques, esthĂ©tiques
 de ses propositions. Lien de l'application Localisation Seine-et-Marne CatĂ©gorie DĂ©mocratie locale et relation avec les citoyens Structure du client EPAMARNE Imaginer son parc Quand SimCity rencontre la participation. Imaginer son parc c’est un jeu, qui Ă  l’instar de SimCity permet Ă  l’utilisateur de crĂ©er son projet idĂ©al en partant d’un plateau de jeu Ă  remplir avec des programmations prĂ©alablement choisie avec nos commanditaires. L’application a fourni un grand nombre de propositions parfois similaires, mais souvent trĂšs diffĂ©rentes les unes des autres. Ces propositions sont passĂ©es par plusieurs filtres d’analyse afin de fournir Ă  l’arrivĂ©e une synthĂšse comprĂ©hensible par les professionnels de l’amĂ©nagement comme par les citoyens non familiarisĂ©s avec les pratiques des grands projets urbains . La plateforme Ă©tait composĂ©e de deux outils une galerie de rĂ©fĂ©rence et un plateau de jeux . La galerie de rĂ©fĂ©rence permettait aux utilisateurs d’aimer les images de rĂ©fĂ©rences de parcs existants qu’ils prĂ©fĂ©raient le plus. Plus de 500 likes ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s sur les 90 images de rĂ©fĂ©rence proposĂ©es au vote. L’analyse de ces votes consiste Ă  dĂ©gager les ambiances les plus plĂ©biscitĂ©es pour le futur parc de Serris. Le plateau de jeu questionne directement sur la programmation. Il prend la forme d’un jeu de plateau et propose aux utilisateurs de composer leur propre parc sur un pĂ©rimĂštre donnĂ©. DiffĂ©rents objets correspondant aux programmes possibles sont proposĂ©s Ă  l’utilisateur qui compose son parc. Celui-ci est amenĂ© Ă  faire des choix puisqu’il fait face tant Ă  la contrainte budgĂ©taire qu’à la contrainte de consommation de l’espace. 300 parcs ont Ă©tĂ© créés.
PENSERLA ViLLE DE DEMAiN BuDgEt PARtiCiPAtif : VOS iDÉES POuR LA ViLLE EN uNE - PAgE 13 NOtRE ViE, NOtRE ViLLE - PAgE 8 COMMENt fONCtiONNENt LES ÉCOLES ? KESAKO - PAgE 20 Page 3 ENtRE NOuS Pages 4 et 5 VOuS y ÉtiEz ! Pages 6
Niveau d'Ă©tude visĂ©BAC +5 et plus PrĂ©sentationOrganisationProgrammeAdmissionEt aprĂšsPrĂ©sentationPrĂ©sentation de la Mention Urbanisme et AmĂ©nagementAssociant les savoirs de l’Architecture, de l’Urbanisme et des Sciences, cette formation occupe actuellement un crĂ©neau original et se situe comme une offre nouvelle et vivement encouragĂ©e par plusieurs Ă©tablissements SGP, MĂ©tropole du Grand Paris, APUR, Fondation AIA, Resallience,etc... Cette mention, Ă  vocation internationale prĂ©voit la participation de l’École d’Architecture et du Paysage de Casablanca EAC. La mention vise Ă  orienter ses formations vers les mĂ©tiers de l’Urbanisme et de l’AmĂ©nagement tels qu’ils sont en train d’évoluer actuellement, selon deux directions principales l’approche Ă©co soutenable, l’innovation urbaine et Ă©cologique dans la planification, dans le projet urbain et dans les mobilitĂ©s. Cette offre implique les Sciences de la Terre, les Sciences Humaines et Sociales et les Sciences de l’Architecture. Le parcours SPMVD offre une formation tournĂ©e vers l’amĂ©nagement et l’urbanisme, la planification, le projet, les mobilitĂ©s urbaines Ă  travers une large palette d’enseignements et d’activitĂ©s totalement renouvelĂ©s. Comment penser la ville de demain Smart City », Knowledge City », Eco City » et quelles sont les conditions de sa mise en Ɠuvre ? Comment faire Ă©voluer les conceptions, les outils, les modes d’actions et comment rĂ©adapter les pratiques de l’urbanisme Ă  l’aune des innovations technologiques et de l’écodĂ©veloppement ?La finalitĂ© du parcours SPMVD est de former des urbanistes spĂ©cialisĂ©s tant dans la mise en place d’un plan stratĂ©gique, Ă  grande Ă©chelle, que dans la conception et le montage d’une opĂ©ration d’amĂ©nagement complexe et plusDimension internationaleDes passerelles sont prĂ©vues, sur proposition du jury de mention, permettant Ă  7 Ă©tudiants rĂ©guliĂšrement inscrits dans chaque Ă©tablissement EAC et SU de choisir de passer d’un Master Ă  l’autre et de suivre ainsi la formation dans le pays de l’autre Ă©tablissement Ă  Casablanca pour le Master VHDD et Ă  Paris pour le Master SPMVD.La mobilitĂ© Ă©tudiante figure, par ailleurs, au nombre des prioritĂ©s de Sorbonne UniversitĂ©. Que les Ă©tudiantes et Ă©tudiants puissent accomplir un sĂ©jour dans une universitĂ© Ă©trangĂšre fait partie intĂ©grante de leur formation. Pour plus d'informations plusOrganisationAmĂ©nagements particuliersLieux d'enseignements Institut de gĂ©ographie 191 rue Saint Jacques, 75005 ParisÉcole d’Architecture et du Paysage de Casablanca Angle Bd. Abou Hanifa Al NoĂąman et Tarik Al Kheir - Sidi Bernoussi 20 610 – Casablancaet Campus Pierre et Marie Curie - 4 place Jussieu 75005 ParisLire plusProgrammeL’offre de formation de la mention Urbanisme et AmĂ©nagement » professionnel et recherche est structurĂ©e autour d’un Tronc Commun, en Master 1 en S1 et en S2- UE1 et UE2, qui constitue le socle de la formation en Urbanisme, avec des enseignements fondamentaux croisant les savoirs de l’Urbanisme, de l’Architecture et des Sciences et de deux parcours de spĂ©cialisation le Master StratĂ©gies, Projets, MobilitĂ©s dans la ville de demain SPMVD », portĂ© par SU et le Master Ville hĂ©ritĂ©e et dĂ©veloppement durable » VHDD, portĂ© par l’EAC .L’annĂ©e du Master 1 est commune aux voies Recherche » et Pro » et tous les enseignements sont formation compte en tout 1245 HTD, soit 1045 heures en prĂ©sentiel. Le Tronc Commun compte 650 HTD 510 heures en prĂ©sentiel et les parcours de spĂ©cialisations, Master SPMVD et Master VHDD, 595 HTD 535 heures en prĂ©sentiel. Lire plusSĂ©lectionnez un programmeM1 Urbanisme et amĂ©nagement StratĂ©gies, projets, mobilitĂ©s dans villes SPMVDParcoursM2 URBA StratĂ©gies, projets, mobilitĂ©s dans villes SPMVDParcoursAdmissionConditions d'accĂšsTitulaire d'une licence ou formation Ă©quivalente diplĂŽme d’architecte, ingĂ©nieur, diplĂŽmĂ© de Sciences Politiques etc... D'autres profils peuvent potentiellement ĂȘtre concernĂ©s selon la qualitĂ© du dossier etla motivation du candidat.*AccĂšs en formation initiale Plus d'informations auprĂšs du service des inscriptions administratives en formation continue / 01 53 42 30 plusPrĂ©-requisLe recrutement tiendra compte des rĂ©sultats dans les Ă©tudes antĂ©rieures, des connaissances et des compĂ©tences Ă©ventuellement acquises Ă  travers des stages dans les domaines de la plusEt aprĂšsInsertion professionnelleLe titulaire de ce diplĂŽme peut exercer son activitĂ© en qualitĂ© d’urbaniste et amĂ©nageur auprĂšs de bureaux d’études, dans la promotion immobiliĂšre, dans les collectivitĂ©s locales, dans les SEM SociĂ©tĂ© d’Economie Mixte et comme urbaniste Master UA dispose d’un rĂ©seau de partenaires privĂ©s et publics Ă©toffĂ©. L’association Urbam’s Alumni regroupe les anciens Ă©lĂšves de l'Institut d’AmĂ©nagement et d’Urbanisme de l’UniversitĂ© de Paris-Sorbonne, le plus ancien de France environ 800 inscrits. Soucieuse de l’insertion professionnelle des Ă©tudiants et diplĂŽmĂ©s de sa branche, l’association travaille beaucoup Ă  la crĂ©ation et au maintien d’un rĂ©seau solide et solidaire entre ses diplĂŽmĂ©s et les Ă©tudiants. Le taux d’insertion professionnel est de 90%. La formation s’appuie aussi sur un rĂ©seau dense de partenaires extĂ©rieurs AMF Association Maires de France, AREP, EMBIX, Fondation AIA, RESALLIENCE VINCI, SGP SociĂ©tĂ© du Grand Paris, MGP MĂ©tropole du Grand Paris, etc..Plus d'informations L’Observatoire de l’Insertion Professionnelle et des Parcours rĂ©alise chaque annĂ©e des enquĂȘtes sur les mĂ©tiers exercĂ©s par les anciens diplĂŽmĂ©es et diplĂŽmĂ©s de la FacultĂ© des Lettres de Sorbonne UniversitĂ© plus Afficheset maquettes 3D sur la ville du futur 12 fĂ©vrier 2018 clg-emile-roux Travaux d’élĂšves de 6°1/2/4 de Mme Boucly exposĂ©s au CDI et pour lesquels un vote a lieu, ouvert Ă  Que nous les appelions smart, intelligents, futures, durables, le territoire, la ville, le quartier se rĂ©inventent... Comment percevoir la transformation numĂ©rique qui nous submerge tous dans les entreprises, les collectivitĂ©s... ou dans notre vie de tous les jours en tant que citoyens ? L’objectif de ces villes futures est-il de dĂ©velopper des outils de planification urbaine grĂące aux donnĂ©es pour mieux penser la ville de demain ? Faut-il penser l’outil numĂ©rique comme source d’information ou d’aliĂ©nation des habitants ? La crĂ©ation urbaine, l’action publique, le renouvellement urbain, passent-ils par ces nouveaux outils ? Comment imaginer le devenir d’un territoire et des gens qui le composent qu’ils soient habitants, passagers, utilisateurs... ? A l’instar de la loi d’orientation sur les mobilitĂ©s, toutes les rĂ©ponses Ă  ces questions sont rĂ©flĂ©chies au fur et Ă  mesure que les problĂ©matiques autour de l’exploitation des donnĂ©es arrivent. Nous ne pouvons que constater que sur ces points, nous ne sommes capables pour le moment de ne penser qu’en rĂ©action » plutĂŽt qu’en anticipation » alors que le principe mĂȘme de l’utilisation des grandes donnĂ©es a pour but de nous permettre de modĂ©liser des actions, prĂ©dire des comportements et de prendre les meilleures dĂ©cisions. Ces dĂ©cisions qui, dans le monde de la fabrique de la ville, se prennent pour plusieurs dĂ©cennies...La donnĂ©e est une matiĂšre premiĂšre de la ville, elle est plurielle, elle est issue de diffĂ©rentes sources, elle est ouverte ou ne l’est pas, mais surtout, elle a besoin d’ĂȘtre gouvernĂ©e. Dans le domaine de l’immobilier, la donnĂ©e est dorĂ©navant partout, nous pourrions la classer en deux grands types. Le premier type est la donnĂ©e environnementale, qui concerne le bĂątiment lui-mĂȘme signature numĂ©rique du bĂątiment BIM, donnĂ©es de fonctionnement et consommation des bĂątiments, dĂ©veloppement de services au sein d’une typologie de bĂątiments... Le second grand type de donnĂ©es, et certainement celui sur lequel nous avons le plus de recul en terme de statistiques, est celui de la donnĂ©e Ă©conomique nombre et prix des transactions, prix des loyers.... Cette deuxiĂšme typologie de donnĂ©es dorĂ©navant disponibles est celle qui fait aussi le plus Ă©voluer la filiĂšre Ă©tablie. La blockchain par exemple renouvelle et rĂ©interroge la filiĂšre toute entiĂšre autour des tiers de confiance en produisant des certificats qui raccourcissent les circuits. De mĂȘme, l’automatisation des outils, la digitalisation des processus actes notariĂ©s par exemple font Ă©voluer les mĂ©tiers. L’économie collaborative rendue possible grĂące Ă  la plateformisation » d’un grand nombre de donnĂ©es impacte aussi les mĂ©tiers, car il dĂ©sintermĂ©die les professionnels, donnant le pouvoir aux l’ouverture des donnĂ©es n’est pas une fin en soi. Un territoire comme la MĂ©tropole de Lyon a mis en place depuis 2012 une plateforme de circulation des donnĂ©es sur le territoire Cette plateforme n’a de sens que par l’usage que l’on en fait, c’est-Ă -dire par les services qui sont dĂ©veloppĂ©s Ă  partir de ces jeux de donnĂ©es rendus accessibles. Les entreprises dĂ©tentrices de donnĂ©es sont des partenaires privilĂ©giĂ©s des collectivitĂ©s publiques, c’est dans cette dĂ©marche partenariale que s’inscrit par exemple la plateforme de la MĂ©tropole de Lyon depuis sa crĂ©ation, tout en ne fragilisant pas ces mĂȘmes entreprises Ă  l’heure oĂč des donnĂ©es sensibles pourraient ĂȘtre ouvertes. Au-delĂ  des enjeux de collecte, de stockage, de traitement des donnĂ©es de la ville, il devient aussi nĂ©cessaire de faire se parler » ces donnĂ©es, c’est Ă  dire de les rendre interopĂ©rables. Qu’il s’agisse de bĂątiment rĂ©sidentiels, tertiaires ou industriels, la finalitĂ© de toutes ces opĂ©rations autour des donnĂ©es est bel et bien de dĂ©cider de l’action Ă  mener mais aussi de prĂ©dire les comportements techniques et la circulation de ces donnĂ©es n’est pas sans risque pour la ville. Aujourd’hui ce risque ne vient pas du territoire lui-mĂȘme, ni mĂȘme du niveau national, mais il provient plutĂŽt des gĂ©ants du numĂ©rique, qui eux ne sont pas des spĂ©cialistes de l’urbanisme de nos villes mais de l’exploitation des big pourraient s’imposer comme des challengers sĂ©rieux de nos collectivitĂ©s mettant en pĂ©ril le service public rendu aux concitoyens. Nous pouvons aujourd’hui citer les calculateurs d’itinĂ©raires qui tendent Ă  ne pas respecter des zones protĂ©gĂ©es Ă©coles, zones faibles Ă©missions, ... mais aussi et pour revenir vers le domaine de l’immobilier, le dĂ©veloppement de plateformes comme AirBnB qui rendent difficile la collecte de la taxe par les villes alors que ces entreprises dites disruptives » dĂ©veloppant ces nouveaux services sont bien dans le mĂȘme temps des utilisateurs des infrastructures de la cette data-gĂ©o-politique » est-ouest/amĂ©ricaine-chinoise, il est bien sĂ»r nĂ©cessaire de saisir les opportunitĂ©s de crĂ©ation de valeur pour les citoyens et de crĂ©ation de valeur Ă©conomique pour nos entreprises. Ainsi les grands groupes acteurs de la ville se trans- forment et mĂ»rissent la potentialitĂ© de la donnĂ©e qu’ils possĂšdent et les jeunes entreprises, comme les startup, dĂ©veloppent des services en croisant diffĂ©rents types de donnĂ©es. Un outil comme le TUBA Tube Ă  expĂ©rimentations urbaines impulsĂ© en 2014 par la MĂ©tropole Ă  partir de sa plateforme de donnĂ©es et construit en partenariat avec ces diffĂ©rentes natures d’acteurs a pour objectif d’accompagner l’innovation et les phases d’expĂ©rimentation de ces nouveaux services numĂ©riques en privilĂ©giant le croisement des donnĂ©es et le lien avec les citoyens. L’innovation autour des donnĂ©es peut s’inscrire dans des approches plurielles, soit autour d’un besoin exprimĂ©, on parle d’innovation bottom up », soit en recherchant en top down » le potentiel de jeu de donnĂ©es ouvertes en imaginant des cas d’usages l’objectif est que les services dĂ©veloppĂ©s profitent aux citoyens et permettent aussi d’amĂ©liorer l’action potentiel d’innovation est illustrĂ© dans le domaine de l’immobilier par deux entreprises fondĂ©es sur l’utilisation des donnĂ©es environnementales et Ă©conomiques. L’une, Futurmap rend disponible et exploite les donnĂ©es des bĂątiments en produisant des plan 3D et des services de cartographie des bĂątiments, et la seconde, Home In Love s’intĂ©resse plus Ă  la donnĂ©e Ă©conomique intĂ©grĂ©e trĂšs en aval, proche des 2015, Futurmap s’est dĂ©veloppĂ© avec l’ambition de crĂ©er le socle 3D de la ville intelligente. Le terme de Smart City est utilisĂ© ici sous diffĂ©rents aspects, Futurmap part du principe que pour rendre une ville plus smart », une reprĂ©sentation en 3D de l’environ- nement, des infrastructures et des bĂątiments est nĂ©cessaire pour y dĂ©velopper de nouveaux usages numĂ©riques. A travers quatre pĂŽles, Futurmap propose la synthĂšse de rĂ©seaux enterrĂ©s en 3D et leur exploitation sur le Web, la crĂ©ation de maquettes numĂ©riques BIM pour le bĂątiment, la numĂ©risation Ă  grande Ă©chelle des infrastructures routiĂšres et ferroviaires et la production de modĂ©lisation 3D Ă  l’échelle d’un territoire. Ces services sont basĂ©s sur des donnĂ©es acquises par des scanners laser statiques, mobile mapping » ou des donnĂ©es disponibles en open data donnĂ©es ouvertes par les villes ou rendues accessibles par des collectifs. Avec l’avĂšnement des technologies d’acquisition 3D, le traitement des donnĂ©es gĂ©ographiques devient un enjeu crucial pour les collectivitĂ©s et les entreprises pour planifier les rĂ©novations, construire de nouveaux quartiers ou imaginer des plans de mobilitĂ© par rĂ©ussir leur mobilitĂ©, les personnes doivent confronter leurs attentes et leurs aspirations Ă  un nouveau territoire au cours d’un processus complexe d’ entrĂ©e en territoire » qui nĂ©cessite de mettre en Ɠuvre des compĂ©tences que chacun est loin de maĂźtriser. Si la mobilitĂ© n’est pas un but en soi, elle peut constituer l’un des leviers de la lutte contre le chĂŽmage et favoriser la situation de certains individus sur le marchĂ© du travail, qu’ils soient ou non en emploi. Les personnes en quĂȘte d’un logement et encore plus ceux en mobilitĂ© gĂ©ographique lointaine sont confrontĂ©s Ă  trois dĂ©fis savoir quoi chercher, savoir oĂč chercher, et savoir comment de ces Ă©tapes met en jeu leur capacitĂ© Ă  faire de la mobilitĂ© une opportunitĂ© pour les salariĂ©s et pour les entreprises. Pour rĂ©pondre Ă  cette problĂ©matique, Home in Love a créé une aide Ă  la mobilitĂ© gĂ©ographique des collaborateurs d’entreprises, pour accompagner dans l’organisation de la vie personnelle les collaborateurs souhaitant dĂ©mĂ©nager pour se rapprocher de leur entreprise dĂšs leur offre d’embauche ou de mutation. L’innovation numĂ©rique repose sur la recherche, l’analyse et la mise Ă  disposition de donnĂ©es collectĂ©es en fonction du projet de la personne afin de trouver le logement idĂ©al. La recherche de donnĂ©es sur les environnements de vie passe par la rĂ©utilisation des villes, des donnĂ©es environnementales comme la plateforme INSEE en la croisant aux donnĂ©es privĂ©es, comme la disponibilitĂ© des biens locatifs par exemple. Les outils numĂ©riques dĂ©veloppĂ©s permettent Ă  la personne de se projeter dans un nouveau territoire, et donc de faire Ă©voluer son projet de mutation professionnelle mais aussi d’ĂȘtre accompagnĂ© dans ses prises de dĂ©cision sur le choix final du logement dĂ© nitif. Cette innovation numĂ©rique est accompagnĂ©e d’une double innovation sociale car elle est aussi proposĂ©e aux alternants et tous nouveaux embauchĂ©s au mĂȘme titre que la mutuelle ou tout autre service mis en place dans l’institution. De plus ce service est pris en charge par les cotisations des entreprises Ă  Action Logement au travers des dispositifs deux exemples illustrent trĂšs bien le champ des possibles de l’utilisation des donnĂ©es du bĂątiment/logement vers la ville et la façon dont les filiĂšres se transforment grĂące Ă  leur capacitĂ© Ă  innover. Mais alors que les outils numĂ©riques prennent de plus en plus de place dans la construction de la ville, il paraĂźt aussi essentiel de penser l’Humain en son ville est espace de vie mais aussi de rencontres, fourmiliĂšre regroupant des individualitĂ©s qui Ă©changent et se rencontrent, par volontĂ© ou nĂ©cessitĂ©. Il est couramment admis que la rĂ©volution numĂ©rique que nous vivons actuellement est au cerveau ce qu’a Ă©tĂ© la rĂ©volution industrielle du XIXĂšme siĂšcle au muscle... Rendez-vous donc dans quelques dĂ©cennies pour en analyser les consĂ©quences, externalitĂ©s positives ou nĂ©gatives comme l’a Ă©tĂ© la rĂ©volu- tion industrielle pour nos aĂźnĂ©s...smartcity data immobilier observatoire innovation villeintelligente services citoyens mieuxvivre experimentation bigdataArticle Ă©crit et publiĂ© pour les 50 ans du CECIM. Pour en savoir plus
\n \n\n comment faire une maquette de la ville de demain
VillebiomimĂ©tique, ville de demain. Ce rendez-vous inĂ©dit sera une occasion Ă  ne pas manquer pour aller Ă  la rencontre du biomimĂ©tisme, Ă©couter des experts, percevoir les enjeux stratĂ©giques pour la ville et dĂ©couvrir les solutions d’avenir que cette approche scientifique laisse entrevoir. Public visĂ© : tous publics.
En 2050, les villes abriteront six milliards de personnes, soit prĂšs de 70 % de la population mondiale. Un peu comme un laboratoire, Hong Kong expĂ©rimente des solutions nouvelles. Architectes et chercheurs y proposent des espaces verts sur les immeubles ou une flotte de vĂ©hicules autonomes. Un Ă©pisode de RĂȘver le futur, sur PlanĂšte + nous les fera dĂ©couvrir ce soir Ă  20 h 45. Futura a abordĂ© ce sujet Ă  de nombreuses reprises. Voici une balade dans les villes du futur...Cela vous intĂ©ressera aussi [EN VIDÉO] Walkcar, un Ă©trange vĂ©hicule Ă©lectrique Walkcar est un curieux petit vĂ©hicule Ă©lectrique permettant de se dĂ©placer facilement en milieu urbain. Plus pratique et compact qu’un vĂ©lo, il peut tenir facilement dans un sac. En voici une dĂ©monstration en vidĂ©o. Conditions de circulation difficiles, pollution de l’air, qualitĂ© de vie sacrifiĂ©e. Vivre en ville apparaĂźt comme de plus en plus compliquĂ©. Pourtant, en 2050, le monde ne comptera pas moins de 6 milliards de citadins chiffres Banque mondiale. Il semble donc indispensable de remodeler le paysage urbain pour le rendre plus efficace et plus agrĂ©able Ă  vivre. C'est le dĂ©fi lancĂ© aux grandes villes de la ville du futur
La ville durable de demain sera, Ă  n'en pas douter, une ville sobre, compatible avec une planĂšte aux ressources limitĂ©es. MĂȘme si les idĂ©es proposĂ©es par les architectes peuvent parfois sembler un peu folles...Naturopolis New York, la rĂ©volution verte. Ou comment une mĂ©galopole est en train de se repenser sous nos yeux. Dans cinquante ou cent ans, les villes seront diffĂ©rentes de celles d’aujourd’hui. C’est une nĂ©cessitĂ©, mais il faut y rĂ©flĂ©chir maintenant. © Docside Production, Arte, Science & TĂ©lĂ©vision
 pour en faire une vĂ©ritable ville sensibleCrĂ©er du lien entre la ville et ses habitants, en faire un lieu d'Ă©panouissement intellectuel et de proximitĂ© avec la nature, c'est l'enjeu d'une ville plus sensible. Ce modĂšle urbain totalement nouveau offrira aux citadins de demain la possibilitĂ© de jouir de quantitĂ©s de biens et de services, au bon endroit et au bon nourrir les citadins de demain ?Aujourd'hui, la capacitĂ© des villes Ă  nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c'est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. À l'avenir, c'est l'ensemble du systĂšme qu'il faudra revoir notamment en prĂ©voyant des espaces de production en ville, mais aussi en Ă©vitant le gaspillage l’énergie pour les villes du futurLa question Ă©nergĂ©tique se place au cƓur des questions posĂ©es par les villes de demain. Dans un contexte de rĂ©chauffement climatique de plus en plus pesant, les urbanistes devront aux citadins de penser les villes de demain en y incluant une rĂ©flexion sur la production d’énergie se dĂ©placeront les citadins de demain ?Les transports reprĂ©sentent un autre enjeu majeur de la ville de demain. Une question de prĂ©servation de l'environnement, une question de santĂ© mais aussi une question de bien vivre en cette vidĂ©o, Nissan et le cabinet d’architecture Foster Partners exposent leur vision de la station-service du futur » qui n’a plus rien Ă  voir avec ce que nous connaissons aujourd’hui. © Nissan Europe, YouTubePlan de dĂ©placement urbain en quoi consiste-t-il ?COP21 les transports non polluants sont-ils la clĂ© d’un futur Ă©cologique ?La voiture autonome de Google comprend les gestes des cyclistesNavya, le premier vĂ©hicule autonome et Ă©lectrique disponible Ă  la venteUne appli pour trouver une place de parking libreLondres va tester des passages piĂ©tons intelligents »IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ? SVNV.
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